Un policier de la région de Marseille a été mis en examen après la plainte d’une touriste britannique. Les faits auraient eu lieu dans un véhicule de service, alors que la victime de 37 ans était menottée. Trois fonctionnaires ont été auditionnés, dont deux poursuivis pour des motifs distincts. L’Inspection générale de la police nationale a été saisie pour éclaircir les circonstances. L’affaire soulève des interrogations sur les garanties offertes aux personnes en garde des forces de l’ordre.
Une mise en examen qui secoue la police locale
Un fonctionnaire de la police nationale des Bouches-du-Rhône a été placé en détention provisoire, soupçonné de viol et d’agression sexuelle sur une ressortissante britannique. La plaignante affirme avoir subi ces violences dans la nuit du 9 au 10 septembre, après avoir été conduite à bord d’un véhicule de service. Son dépôt de plainte au commissariat de La Ciotat a conduit à l’ouverture immédiate d’une enquête judiciaire. Deux autres policiers présents au moment des faits présumés ont également été mis en cause : l’un est poursuivi pour ne pas avoir empêché une infraction, tandis que le troisième bénéficie du statut de témoin assisté.
Le parquet a confirmé que l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) mène actuellement les investigations. Cette procédure vise à établir les responsabilités individuelles et à déterminer les manquements éventuels aux règles encadrant les interventions. La législation française prévoit en effet des sanctions aggravées lorsque des infractions sexuelles sont commises par des personnes dépositaires de l’autorité publique, ce qui renforce la portée pénale d’une telle affaire. Dans les prochains mois, le suivi judiciaire permettra de préciser l’étendue des charges et d’évaluer la crédibilité des éléments matériels recueillis.
Les risques pour les visiteurs et singularité de l’affaire
Les agressions visant des visiteurs étrangers constituent une préoccupation récurrente dans les zones touristiques. Les statistiques publiées ces dernières années par le ministère de l’Intérieur montrent que les atteintes aux personnes concernent fréquemment des voyageurs, notamment dans les grandes villes et les sites très fréquentés. Ces infractions vont du vol avec violence aux agressions sexuelles, poussant certaines représentations diplomatiques à conseiller prudence et vigilance. De nombreux guides de voyage intègrent désormais ces informations afin de sensibiliser les touristes aux situations à risque.
Toutefois, il est extrêmement rare que de tels actes soient attribués à des membres des forces de l’ordre. Les cas rapportés impliquant directement des policiers restent marginaux en comparaison du nombre global de plaintes. C’est précisément cet aspect qui confère à l’affaire une portée particulière, puisqu’elle met en cause des agents censés assurer la sécurité. Ce contraste soulève un questionnement sur la confiance accordée aux institutions et sur la perception qu’en auront les visiteurs étrangers. Des experts en sécurité touristique envisagent de publier des rapports détaillés sur les garanties juridiques existantes, ce qui pourrait alimenter le débat public.
Les suites judiciaires et administratives détermineront si des sanctions disciplinaires seront engagées parallèlement au processus pénal. Les résultats de l’enquête de l’IGPN sont attendus pour préciser le rôle de chaque policier et établir le degré de responsabilité.




Faut être un gros pervers pour « toucher » une britannique de 37 ans !
Elle prend ses fantasmes pour la réalité !