Alors que la guerre en Ukraine entre dans sa troisième année, Moscou a consolidé plusieurs positions stratégiques au cours des derniers mois, notamment dans l’est et le sud du pays. Ces avancées ont accru la pression sur Kiev, confronté à des pertes humaines et matérielles tout en cherchant à maintenir le soutien occidental. Face à cette situation, les échanges verbaux entre les dirigeants des deux pays se sont durcis, montrant un affrontement où la rhétorique devient presque une arme à part entière.
Moscou dénonce des propos « irresponsables »
Lors d’une interview diffusée jeudi, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a laissé entendre que la Russie devait s’attendre à des frappes visant des lieux symboliques, évoquant même la possibilité de cibler le Kremlin. Ces déclarations, perçues à Moscou comme une escalade, ont immédiatement suscité une réaction. Dmitri Peskov, porte-parole de la présidence russe, a qualifié vendredi ces menaces d’« irresponsables » et accusé le dirigeant ukrainien d’alimenter le risque d’un conflit plus large.
La réaction du Kremlin montre la sensibilité de Moscou aux discours concernant des attaques sur son territoire, particulièrement lorsqu’il s’agit de sites aussi emblématiques. Si la Russie n’a pas détaillé d’éventuelles mesures de riposte, le ton adopté laisse entendre qu’elle considère ces propos comme un signal d’avertissement à ne pas ignorer.
Un bras de fer qui se joue aussi sur le terrain politique
Au-delà des échanges verbaux, ces déclarations traduisent la difficulté pour Kiev de renverser la dynamique militaire. En évoquant la possibilité de frapper le cœur du pouvoir russe, Zelensky cherche aussi à rappeler que l’Ukraine conserve des moyens d’action malgré les revers subis. Cela témoigne d’une guerre où la communication et la perception jouent un rôle presque aussi important que les opérations sur le front.
Alors que plusieurs initiatives de médiation stagnent, le dialogue entre les deux capitales se limite désormais à des messages publics chargés de menaces et d’avertissements. Cette situation pourrait accentuer les inquiétudes des partenaires internationaux, qui redoutent une extension du conflit au-delà des frontières ukrainiennes.
Zelensly frappe déjà le Kremlin pour ne pas citer la Russie. Et Zelensky (‘Ukraine) réserve de surprises pour Poutine, car cette guerre dure plus de trois ans et quelques mois et bientôt quatre ans, et nous ne sommes même pas vers la fin des hostilités où les belligerents font saigner l’un et l’autre sans aucune lueur de paix à fin du tunnel.
Les ukros ont perdu 600.000 hommes de puis le début 2025. Les Russes mènent une guerre d’usure. Lors du dernier échange des corps : 1000 corps ukros contre 24 corps russes. C’est le rapport entre les pertes.
Dans ces cas-là, normalement, on capitule ! Mais capituler signifie pour Macron, Merz, Staremer et Zelensky une défaite dont il ne pourront pas se relever politiquement.
Alors, ila continuent la guerre et ils continuent à mentir. Le moins bête là-dedans, c’est Trump qui s’est tiré des pattes de cette pétaudière. Il a déjà dit que cette défaite ne serait pas la sienne
RIP aux Ukrainiens qui paient cette folie de leur vie.
C’est beaucoup 600.000 !
Je trouve aussi, c’est le chiffre que j’ai … C’est un minimum de 1.500 par jour.
270 jours à 1.500 par jour, ça fait déjà un minimum de 405.000.
Mais je sais que les pertes ont beaucoup augmenté. Les ukros se font encercler, le commandement ne donne pas l’ordre de repli et c’est la boucherie.
Les mensonges de Micron sont ENORMES : « la Russie est très faible, elle n’a avancé que de 1% au cours de ces 3 dernière années »
2 heures plus tard : « Un ogre est à nos portes, ils seront à Berlin et Paris d’ici quelques années ! »
Totalement schizo, ce type !
« Moscou dénonce des propos « irresponsables » »
Zobenski est aux abois alors que Trump vient de dire que les ukros pourraient facilement gagner avec la bénédiction MAIS « sans l’aide directe des USA »
Le pauvre nain vert aux narines enfarinées ne sait plus comment il s’appelle et il tient des propos incohérents et irresponsables : cela prendrait 10 minutes aux Russes pour tout exploser à Kiev et Zobenski menace d’attaquer le Kremlin, ce qu’il est incapable de faire.
Faut arrêter ce cirque !
Z.elensky cr@che sa b!le, Putin se tait.
Le chien @boie, la caravane passe !
Merci d’avoir « enfin » publié ce post
Trump dit n’importe quoi ! C’est sa marque de fabrique : il sort ce qui lui passe par la tête sans réfléchir !
C’est pas génial pour un POTUS, l’homme le plus puissant de la planète. Mais le plus drôle, c’est que c’est plus perturbant pour ses alliés que pour ses adversaires qui regardent ça comme un sketch de Monthy Python.