Depuis le début de la guerre en Ukraine, des milliers d’enfants ont été arrachés à leurs foyers. Certains ont été transférés vers la Russie, d’autres placés dans des centres d’accueil éloignés de toute trace de leur passé. Derrière les chiffres, des visages : ceux de familles cherchant désespérément leurs enfants disparus, parfois depuis plus de deux ans. Alors que plusieurs initiatives diplomatiques ont échoué à résoudre ce drame humanitaire, un nom inattendu vient d’apparaître sur la scène des pourparlers : Melania Trump.
Un canal inédit entre la Maison-Blanche et le Kremlin
Dans une annonce faite à Washington, la Première dame a révélé avoir établi un “canal de communication” direct avec Vladimir Poutine révèle Politico. Une démarche personnelle, amorcée selon elle après l’échec du sommet d’août dernier en Alaska entre Donald Trump et le président russe.
C’est à la suite de cette rencontre que Melania Trump aurait adressé une lettre au dirigeant du Kremlin, transmise par son mari. Ce message aurait ouvert la voie à des échanges discrets entre les deux parties — des discussions qualifiées de “bonnes foi” par la Première dame, menées entre ses représentants et l’équipe présidentielle russe.
De ces échanges serait née une première avancée concrète : huit enfants ukrainiens déplacés depuis le début de la guerre ont pu retrouver leurs familles au cours des dernières vingt-quatre heures. Sept d’entre eux auraient regagné l’Ukraine, tandis qu’une fillette a rejoint sa famille en Russie. Un équilibre fragile, mais symbolique, qui illustre l’ambiguïté du conflit et des liens humains qu’il déchire.
Une initiative entre compassion et calcul politique
L’annonce de Melania Trump a provoqué autant de curiosité que d’étonnement. Rarement une Première dame, même influente, s’était aventurée sur un terrain aussi délicat, mêlant diplomatie, guerre et enjeux humanitaires. Son rôle dépasse les gestes de représentation habituels : il évoque celui d’une intermédiaire parallèle, capable de parler là où la diplomatie officielle piétine.
Ce geste, perçu par certains comme un acte de compassion, pourrait aussi traduire une stratégie d’image. Depuis le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, l’administration américaine cherche à redéfinir ses relations avec Moscou, dans une logique de confrontation maîtrisée. L’intervention de Melania Trump offre ainsi une porte de sortie narrative : celle d’une diplomatie douce, féminine, presque apolitique, servant à humaniser des relations figées par la guerre.
Une lueur
Le sort des enfants ukrainiens reste l’un des chapitres les plus sombres de cette guerre. Les organisations humanitaires estiment que des milliers d’entre eux auraient été transférés de force vers la Russie depuis 2022. Certains ont été adoptés, d’autres placés dans des institutions, coupés de leurs origines. Chaque retour représente donc bien plus qu’un geste symbolique : c’est une victoire intime contre l’oubli. En tendant la main à Vladimir Poutine, Melania Trump a surpris autant qu’elle a suscité l’espoir. Elle a montré qu’une initiative venue d’un acteur inattendu pouvait encore briser les murs du silence diplomatique.




Ce n’est pas Melania qui a tendu la main à Vladimir Poutine, C’est le contraire !
Le geste de Malania était stupide et maladroit eu égard à la façon dont les enfants son maltraités aux USA et à GAZA.
Ce qui lui a valu de bien se faire troller
Au lieu de l’envoyer hiech, Putin l’a crédibilisée dans sa démarche.
Une attitude intelligente du Tsar qui a maintenant une alliée à la maison blanche.
La Russie est un paradis pour les enfants (des aires de jeux à tous les coins de rue) … mais aussi pour leurs parents !
UN SEUL EXEMPLE : les parents commencent à toucher des allocations familiales, non pas dès la naissance de l’enfant mais DES QUE le médecin a signé un document attestant que Madame est enceinte !
« Depuis le début de la guerre en Ukraine, des milliers d’enfants ont été arrachés à leurs foyers »
ON SE CALME, les merdias oxydentaux ont parlé de 200.000 enfants « kidnappés » mais lorsque les Russes ont demandé les noms de ce senfants, zobensky n’a pu produire qu’une liste de 339 noms (à Istanbul) !
Sur ces 339, une partie à été retrouvée en Allemagne, une partie avait DEJA retrouvé leur famille et une partie était … devenu majeur ! Pour les autres les Russes les ont rendus à leurs parents quand on a pu les retrouver.
Ils sont tous vivants et en bonne santé. Putin en a juste mangé un ou deux mais pas plus !
Maintenant, il est assez évident que le narratif du narco-furher de Kiev est quelque peu différent !
Que chacun croit ce qu’il veut !
Heureux les crédules, le royaume des cieux est à eux !