Depuis son retour au pouvoir en janvier 2025, Donald Trump a fait de la fin de la guerre en Ukraine un objectif central de sa politique étrangère. Il s’était engagé, durant la campagne présidentielle, à ramener la paix en Europe de l’Est « en quelques mois ». Dix mois plus tard, cette promesse reste inachevée. Les initiatives de médiation proposées par Washington ont été freinées par le refus de Moscou d’accepter un cessez-le-feu conditionné à un retrait partiel de ses troupes. L’échec de ces tentatives semble aujourd’hui avoir renforcé la détermination du président américain à ne plus engager de discussions sans issue claire.
Un président lassé des négociations improductives
S’adressant aux journalistes à bord d’Air Force One, Donald Trump a été direct : il ne souhaite plus rencontrer Vladimir Poutine tant qu’il ne percevra pas la possibilité d’un véritable accord pour mettre fin au conflit rapportent plusieurs sources dont Reuters. L’homme d’affaires redevenu président dit ne pas vouloir « perdre son temps » dans des pourparlers qui, selon lui, ne conduisent qu’à des promesses sans effets. Il a rappelé avoir toujours entretenu de bons rapports personnels avec le chef du Kremlin, mais n’a pas caché sa frustration face à l’absence de progrès concrets dans les discussions autour de l’Ukraine.
Cette déclaration marque une rupture avec les précédentes tentatives de dialogue amorcées au début de son mandat. En choisissant de poser des conditions strictes avant toute nouvelle rencontre, Trump veut se positionner comme un négociateur de résultats. Sa posture s’apparente à celle d’un entrepreneur refusant de réinvestir dans un projet qui n’offre aucun retour tangible.
Une diplomatie sous tension
La déclaration du président américain intervient alors que le front ukrainien reste figé et que la Russie continue de rejeter les propositions américaines de trêve. Pour Donald Trump, les négociations ne peuvent reprendre que si le Kremlin manifeste une réelle volonté d’avancer vers un compromis. Cette fermeté contraste avec l’attitude conciliante qu’il avait affichée en 2018 lors du sommet d’Helsinki, où il avait été accusé de complaisance à l’égard de Moscou.
Aujourd’hui, Trump semble vouloir redéfinir les rapports de force. Sa position traduit une forme de lassitude : celle d’un dirigeant qui ne croit plus aux réunions symboliques et préfère concentrer son énergie sur des initiatives susceptibles d’aboutir. Certains observateurs y voient aussi une tentative de restaurer sa crédibilité internationale après plusieurs mois de promesses non tenues sur le front ukrainien.
Une diplomatie de résultat ou un aveu d’impuissance ?
Le refus d’une nouvelle rencontre avec Poutine sans garantie d’accord révèle une stratégie plus sélective : dialoguer uniquement quand les conditions d’un succès sont réunies. Mais cette approche comporte un risque : en se retirant du jeu diplomatique, les États-Unis laissent davantage d’espace à d’autres acteurs, notamment la Chine, qui cherche à se poser en arbitre alternatif.
Cette posture ferme peut être interprétée comme une volonté de reprendre le contrôle du calendrier diplomatique, mais aussi comme la reconnaissance implicite des limites du pouvoir américain dans ce conflit prolongé. Si Donald Trump veut vraiment tenir sa promesse de paix, il devra trouver une nouvelle équation qui convainque à la fois Moscou, Kiev et leurs alliés respectifs que le dialogue peut encore produire des résultats. Pour l’instant, il semble avoir choisi la patience… et la prudence.




Donald Trump, arrivé en Malaisie, a négocié un accord de paix entre la Thaïlande et le Cambodge, sans oublier de se féliciter de ces « accords de paix ».
« J’aime vraiment ça. Je ne devrais pas dire que c’est un hobby, car c’est bien plus sérieux que ça, mais c’est quelque chose dans lequel je suis doué et que j’adore faire »
En fait, ce serait assez drôle si ce n’était pas si triste, car cela vient du président d’une grande puissance nucléaire qui pense qu’il est plus puissant que Dieu.
« Je ne devrais pas dire que c’est un hobby »
La classe à Dallas … « je ne devrais pas dire que faire la paix dans le monde, c’est mon hobby ». Outre la co***ie congénitale, ça sent quand même le gars qui a trop fréquenté les Miss dans des concours de beauté !
Comment tu crois qu’il a rencontré sa femme ? 😉
« Trump a proposé une rencontre personnelle à Budapest puis s’est rétracté lorsqu’il a compris que la Russie n’avait aucune intention d’accepter ses conditions. La proposition de Trump de mettre fin au conflit est dénuée de logique ; il propose simplement un arrêt des hostilités sur la ligne de front, permettant des négociations ultérieures. Ce cessez-le-feu n’apportera rien, si ce n’est le temps pour Kiev de se réarmer et la satisfaction de l’ego de Trump, le « faiseur de paix » ! »
Source : le lieutenant-colonel à la retraite de l’armée américaine Daniel Davis
« dialoguer uniquement quand les conditions d’un succès sont réunies. »
A TRADUIRE PAR :
« taper dessus jusqu’à ce qu’il dise qu’il est d’accord »
Poutine est l’ex-directeur de l’ex-KGB. Ce genre de gars peut faire danser n’importe qui autour de son petit doigt. Surtout un gosse de riche sans culture ni éducation.
Trump qui a un fort instinct du ridicule a compris que plus il se faisait promener, plus il perdait en prestige et en crédibilité.
Ce qu’il n’a pas compris, c’est comment arrêter cette guerre. C’était pourtant simple. Il suffisait de dire en janvier : « Pas ma guerre, je retire mes billes : plus de crédits (ce qu’il fait), plus de renseignements permettant de taper les Russes et plus de couverture satellite et je reprends des relations « normales » avec la Russie ! » Au lieu de cela, les ukros continuent la guerre avec des communications et des renseignements US »
Si Biden et Bojo n’avaient pas empêché le nain barbu de signer un accord de paix en AVRIL 2022, la guerre serait terminée depuis longtemps et selon cet accord, l’Ukraine N’AURAIT PERDU AUCUN TERRITOIRE à part la Crimée.
Poutine est-il devenu un démi-Dieu?
Pourquoi demi, c0nn@rd ?
T’as bien le poudré qui se prend pour Jupiter et Donald Coincoin pour le Saint-Sauveur
Cool Raoul ! La question est stupide et provocatrice mais tu peux toujours répondre qu’en 25 ans de Poutine au pouvoir, les Russes ont vu leur niveau de vie multiplié par 3 ou 4 ! Des Français organisent des voyages en Russie. Ceux qui reviennent sont épatés par Moscou, une ville aujourd’hui comparable à Dubaï et Shanghai.
Si Poutine continue sur cette voie, il sera considéré comme l’égal de Catherine II et Pierre le Grand, dans l’Histoire de la Russie.
Comparativement la France sous Hollande et Micron est passé de AAA à A+ dans les agences de notation. Une sacrée dégringolade. Et c’est pas fini ! Le niveau de vie des Français va encore en prendre un sacré coup dans les MOIS qui viennent. Idem en Allemagne
« Une diplomatie de résultat ou un aveu d’impuissance ? »
La réponse est dans la question. Trump ne fait pas dans la « diplomatie ». Trump « négocie » comm eun mafioso. Il tord le bras dans le dos et dit : « Je vais vous faire une offre que vous ne POUVEZ PAS refuser ! »
Problème : Poutine a maté la mafia russe, peu de chances qu’il se laisse impressionner par un gros demeuré buveur de coccu collé !