La guerre en Ukraine, qui a débuté en 2022, a tout simplement bouleversé l’équilibre géopolitique européen. “Conventionnelle”, dans le sens ou elle a lieu sur le terrain, avec de violents affrontements armés, celle-ci prend de plus en plus la forme d’une guerre que les experts qualifient d’hybride.
Plus concrètement, ce type de conflit combine l’utilisation de moyens militaires traditionnels avec des tactiques non conventionnelles comme la désinformation à grande échelle, les cyberattaques sur certains sites sensibles ou encore provocations, notamment dans les espaces aériens des pays concernés.
Une guerre hybride qui irrite l’Europe
Cela s’est notamment déroulé en Allemagne (à Munich), en République tchèque (à Prague) à mais aussi au Danemark, en France ou encore en Pologne. Des drones ont été aperçus survolant aéroports ou bases militaires. Des drones qui sont, selon les autorités, d’origine russe. Une guerre hybride qui s’intensifie donc, mais qui a été prise en main à temps par l’OTAN.
Selon Manfred Boudreaux-Dehmer, Directeur des systèmes d’information de l’OTAN, ce type de conflit est une réalité, mais l’Alliance Atlantique a été en capacité d’anticiper cette menace et surtout, de mettre en place des éléments lui permettant d’y répondre ou, tout du moins, de se montrer vigilante pour limiter l’impact de ces tentatives de déstabilisation sur son sol.
L’OTAN envisage de nouvelles mesures
De nouvelles mesures pourraient d’ailleurs être annoncées, sous peu, dans l’idée d’accentuer la pression sur Moscou pour éviter que de telles tentatives de déstabilisation continuent d’avoir lieu. Parmi les options discutées figure le déploiement de drones armés le long des frontières avec la Russie.
L’OTAN envisage également l’assouplissement des règles d’engagement pour les pilotes. Ceux-ci pourraient bientôt recevoir l’ordre de tirer sur les avions ou les drones russes qui violeraient l’espace aérien européen. L’Organisation doit encore s’accorder, mais les discussions évoluent dans ce sens, même si certains pays craignent qu’une telle réponse n’envenime davantage la situation.




Claro qué la riposte dé l’OTAN, elle fé trembler les Rousses
« Une guerre hybride qui irrite l’Europe »
L’Europe est irritée parce qu’elle se rend compte qu’elle a sous-estimé « l’ennemi », qu’elle est occupée de prendre le bouillon et qu’elle ne sait plus quoi faire pour éviter l’inévitable.
« Il ne faut pas commencer une guerre qu’on n’est pas sûr de gagner. Sun Tzu
Putin connait Sun Tzu. On ne gagne pas une guerre avec des femmes à barbe et de grands discours creux comme des flûtes. N’est-ce pas Micron ?
Pourtant, une armée LGBTQQ+, ça aurait de la gueule … des femmes à barbe avec des pompes de drag queen 🙂