Le nom de Barron Trump, fils cadet du président américain, circule depuis quelques jours dans les médias américains en lien avec une possible nomination au sein de TikTok. Aucune annonce officielle n’a toutefois été faite, et cette information relève pour l’heure de la spéculation.
Une suggestion relayée par les médias américains
Selon plusieurs sources, dont The Daily Beast et ABC 6, Jack Advent, un ancien producteur des réseaux sociaux proches de l’équipe Trump aurait proposé que Barron Trump, âgé de 19 ans, rejoigne le conseil d’administration de TikTok. L’idée serait de renforcer l’image du réseau social auprès du public jeune aux États-Unis. Aucune confirmation officielle n’a été donnée ni par TikTok ni par la Maison-Blanche.
Cette suggestion intervient alors que Donald Trump a récemment rouvert son compte TikTok après plusieurs mois d’absence, en pleine phase de consolidation de sa présence numérique. Le réseau social, longtemps visé par des menaces de restriction aux États-Unis, cherche à apaiser les tensions politiques en affichant une forme de coopération avec l’administration en place. Certains observateurs estiment que la simple mention du nom de Barron Trump dans ce contexte pourrait servir d’outil de communication autant que de test médiatique.
Une idée sans confirmation officielle
Jusqu’à présent, ni Barron Trump ni l’entourage présidentiel n’ont commenté ces informations. TikTok, de son côté, n’a publié aucun communiqué relatif à cette rumeur. Plusieurs médias, dont The Independent, rappellent que cette éventuelle nomination nécessiterait des procédures formelles et l’approbation de différents acteurs, ce qui laisse peu de place à une officialisation rapide.
Au-delà de la véracité de cette rumeur, le simple fait que le fils du président soit évoqué pour un rôle au sein de TikTok illustre la place croissante que les réseaux sociaux occupent dans la communication politique américaine. L’hypothèse d’une telle nomination soulève également des questions sur la frontière entre influence médiatique et engagement institutionnel. Pour l’heure, aucune confirmation n’étaye ces spéculations, mais le sujet continue d’alimenter les discussions autour des relations entre la Maison-Blanche et les grandes plateformes numériques.



