L’Église catholique a ajouté un nom inattendu à la liste de ses saints. Bartolo Longo, connu pour avoir été lié à des pratiques occultes avant de changer de voie, a été canonisé par le pape Léon XIV aux côtés de six autres figures religieuses. Son parcours, souvent qualifié de singulier, attire l’attention en raison de son passé puis de son engagement au service des autres.
Du spiritisme à l’engagement religieux
Longo, né en 1841 à Latiano, en Italie, avait étudié le droit avant de s’intéresser à l’occultisme après la mort de son père. Certains récits indiquent qu’il aurait officié comme prêtre satanique, participé à des séances de spiritisme et observé des pratiques extrêmes. Il aurait même affirmé avoir conclu un pacte avec un démon.
Son retour au catholicisme est attribué à l’intervention de proches, notamment celle du professeur Vincenzo Pepe, qui l’aurait encouragé à abandonner ces pratiques pour préserver sa santé mentale et sa vie spirituelle. Guidé par un prêtre dominicain, Bartolo Longo aurait suivi une période de pénitence avant de se réorienter vers la foi catholique.
Une fois revenu dans l’Église, il aurait mené plusieurs actions sociales. Il a notamment fondé le Sanctuaire pontifical de la Bienheureuse Vierge du Rosaire de Pompéi. Il est également associé à l’ouverture d’un orphelinat pour filles, d’institutions dédiées aux enfants de prisonniers et à des années de bénévolat auprès de personnes malades à Naples.
Le processus de canonisation et une reconnaissance récente
La désignation de nouveaux saints est effectuée par le pape en exercice après un examen mené par l’Église catholique. Ce processus, structuré au fil des siècles, vise à reconnaître des personnes dont la vie est considérée exemplaire pour les fidèles. Il a évolué progressivement avant d’être centralisé sous l’autorité pontificale. Cette approche est restée en vigueur jusqu’à aujourd’hui, ce qui permet d’établir un lien entre l’histoire de l’institution et les canonisations contemporaines.
La trajectoire de Bartolo Longo demeure souvent citée pour le contraste entre ses choix de jeunesse et ses actions ultérieures. Décédé en 1926, il est désormais reconnu comme saint pour son engagement caritatif et religieux après son changement de vie. Cette canonisation place à nouveau au centre de l’actualité une figure dont l’histoire montre une rupture nette entre deux périodes de son existence, l’une marquée par des pratiques occultes et l’autre par une contribution sociale et religieuse au sein de l’Église catholique.

le catholicisme, et en général toutes les églises Christianites ,je les appelle LES RELIGIONS DE LA FOI DE CONFUSION (Soit, le confusionnisme)
Voilà une religion qui nous dit que Jésus Christ est venu sur Terre pour mourir sur la croix afin de racheter racheter l’humanité de ses péchés.
Mais en même temps, Judas par qui ce sacrifice a été possible est considéré et désigné par la même religion de TRAÎTRE et banni des apôtres et des saints…son nom n’est plus autorisé jamais autorisé à être donné à un enfant pour son baptême.
De deux choses, l’une… ou Jésus Christ devrait mourir sur la croix pour l’humanité et cela fait de Judas un grand et vénérable sacrificateur qui doit être honoré dans toutes les églises, ou être crucifié n’était pas dans sa mission et comme les gens parmi lesquels IL vivait étaient connues comme des transgresseurs des Lois divines et Tueurs des Prophètes, elles ont attenté à sa vie…et là, je comprendrai alors que Judas a été un traître.
Mais les prêtres et les pasteurs doivent choisir… Judas ne doit plus être considéré comme quelqu’un qui a vendu Jésus et en même temps on nous dit que ce dernier est l’agneau de Dieu qui enlève le péché du monde.
Ca devient n’importe quoi