La modernisation économique de l’Afrique vient de franchir un nouveau cap. À l’occasion du dernier sommet du G20, la Chine et l’Afrique du Sud ont dévoilé une initiative de coopération d’envergure destinée à accélérer la transformation du continent. Ce partenariat, conçu avec la participation directe de plusieurs pays africains, se veut un cadre orienté vers des projets concrets et un appel à une mobilisation internationale plus forte.
Depuis deux décennies, la Chine développe une stratégie d’investissement structurée sur le continent. Construction de routes, ports et infrastructures énergétiques, implantation d’entreprises industrielles et multiplication des échanges commerciaux ont façonné son image de partenaire financier majeur pour de nombreux États africains. Les prêts concessionnels et les grands projets d’équipement ont fait de Pékin un acteur incontournable, tout en intensifiant les attentes concernant la durabilité, l’impact social et l’équilibre des bénéfices. Ce parcours renforce la portée de l’annonce faite lors du sommet, qui marque une nouvelle étape dans la relation sino-africaine.
Un plan Chine – Afrique du Sud axé sur la modernisation du continent
L’initiative dévoilée par la Chine et l’Afrique du Sud comprend dix actions prioritaires destinées à soutenir des projets liés à la modernisation des économies africaines. Elles englobent notamment des investissements visant à stimuler la prospérité économique, soutenir l’innovation sociale et culturelle et encourager une croissance respectueuse de l’environnement. Les promoteurs du projet affirment qu’il a été conçu pour correspondre aux besoins spécifiques des pays africains, en tenant compte des réalités locales, de leurs aspirations de transformation et de leurs objectifs de développement durable.
La Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED) a apporté son soutien total à cette initiative, exprimant l’importance d’une consolidation des partenariats publics et privés autour du financement du développement africain. Ce soutien pourrait favoriser une meilleure visibilité internationale du programme et attirer de nouveaux investisseurs intéressés par les perspectives de croissance sectorielle sur le continent.
Modernisation, investissement et stabilité au cœur de la coopération Chine–Afrique
Au-delà des infrastructures physiques, les ambitions présentées au sommet donnent une place notable au progrès social, à la préservation des ressources naturelles et à la construction d’un climat de stabilité. Les deux parties affirment que ces dimensions sont essentielles pour garantir une modernisation durable capable de profiter aux populations et non uniquement aux économies nationales. Les promoteurs du projet espèrent que cette approche contribuera à renforcer la confiance entre les investisseurs étrangers et les acteurs africains.
La mise en œuvre dépendra désormais des choix des gouvernements africains qui souhaitent participer au programme et de la capacité des partenaires internationaux à mobiliser des fonds complémentaires. Si les engagements annoncés sont concrétisés, cette initiative pourrait devenir l’un des leviers majeurs de transformation économique du continent dans les prochaines années.
À l’occasion du dernier sommet du G20, la Chine et l’Afrique du Sud ont dévoilé une initiative de coopération d’envergure destinée à accélérer la transformation du continent. Ce partenariat, conçu avec la participation directe de plusieurs pays africains, se veut un cadre orienté vers des projets concrets et un appel à une mobilisation internationale plus forte.
Voilà la vraie raison pour laquelle le vilain caneton jaune a décidé d’exclure le Sud- Afrique du G20.
j’en profite pour corriger ceci le pays s’appelle le Sud-Afrique et non Afrique du Sud…ce n’est l’Amérique du Nord et l’Amérique du Sud ( étant comme deux continents) ou la Corée du Nord et Celle du Sud (qui est la division en deux d’un même pays… même chose Soudan du Nord et Soudan du Sud)
Ce sont les terroristes blanc qui s’étaient accaparé de cette région et y ont pratiqué l’aparthed qui parlent d’Afrique du Sud pour faire croire que c’est une Zone séparée.