Le dernier rapport de la US-China Economic and Security Review Commission est très clair. En effet, ce rapport confirme que sur le terrain, l’armée chinoise rattrape les capacités américaines. Mais ce n’est pas tout. En effet, les combats se jouent aussi dans l’espace informationnel.
Pour preuve, ce rapport rappelle les affrontements survenus entre l’Inde et le Pakistan, entre le 7 et le 10 mai dernier. Des affrontements déclenchés après une attaque insurrectionnelle meurtrière au Jammu-et-Cachemire. Le Pakistan s’était alors appuyé sur un système de défense aérienne, largement fourni par Pékin. À travers cet épisode, la Chine a, semble-t-il, surtout voulu tester son matériel en situation de guerre.
Le Rafale, critiqué par les Chinois
Mais plus que des opérations terrain, la Chine mène notamment un travail de sape, en coulisses. En effet, le rapport détaille plusieurs opérations menées par Pékin, qui avaient pour objectif, de dégrader l’image du Rafale, l’avion militaire français que l’Inde par exemple, a décidé d’utiliser pour développer son arsenal militaire.
Diffusion de fausses informations via de faux comptes sur les réseaux sociaux, utilisation d’images tirées de jeux vidéo ou générées par IA, mises en scène comme des « preuves » de pertes indiennes… L’idée était surtout de décrédibiliser cet avion, suite à ces combats, pour mettre davantage en avant les J-35 chinois et donc, mieux les vendre sur la scène internationale.
Comment l’Europe va-t-elle réagir ?
Une volonté d’affaiblir l’image de la France et donc, de booster les ventes, dans un marché hyper-concurrentiel où l’enjeu est certes technique, mais aussi financier et humain. En outre, cette stratégie met à mal les capacités occidentales à faire face et à lutter contre les campagnes de désinformation chinoises, de plus en plus sophistiquées et nombreuses. Une vraie stratégie défensive est donc nécessaire pour rassurer sur la qualité de l’avion et préserver son image à l’internationale.




Le Rafale est un 4G+ ! Pas aussi dépassé que le F-16 mais presque.
Un SU-35 pousse autant avec un moteur que le Rafale avec les deux ! Et on ne parle pas du SU-57.
Le Rafale, c’est OK pour un petit pays qui a besoin d’un multi-rôles. Comme la Suisse 😉