La Russie vient de dévoiler un nouveau symbole de sa puissance maritime : le Khabarovsk, un sous-marin à propulsion nucléaire de 140 mètres de long et d’un déplacement estimé à 10 000 tonnes. Construit au chantier naval de Severodvinsk, cet engin monumental est conçu pour emporter le drone torpille nucléaire Poseidon, une arme redoutée capable, selon les spécialistes, de provoquer d’importants dégâts sur de vastes zones côtières.
D’après BFMTV, le Khabarovsk n’a pas encore entamé sa phase opérationnelle. Il doit d’abord subir une série d’essais en mer afin de valider ses performances. Toutefois, la perspective d’un bâtiment pouvant embarquer jusqu’à six Poseidon, mais aussi des missiles mer-sol et des missiles de croisière anti-navires, alimente déjà les inquiétudes à l’étranger. Cette mise à l’eau renforce la posture offensive de Moscou, dans un moment où la rivalité militaire entre grandes puissances s’intensifie.
Une industrie de défense russe au cœur du pouvoir stratégique
Depuis plusieurs décennies, la Russie se positionne parmi les leaders mondiaux de l’industrie de défense, aux côtés des États-Unis et de la Chine. Héritière d’un savoir-faire technologique de l’époque soviétique, elle continue de miser sur la propulsion nucléaire, les systèmes de missiles et la guerre sous-marine pour maintenir son influence. Cette capacité à produire des équipements sophistiqués assure au pays un rôle central dans le commerce mondial des armes, tout en consolidant sa puissance militaire interne.
L’inauguration du Khabarovsk illustre cette logique de continuité et d’affirmation. En dévoilant un sous-marin de cette dimension, la Russie ne se contente pas d’un simple exploit technologique : elle réaffirme sa volonté d’occuper une position dominante dans la dissuasion nucléaire maritime. Le message est clair — le Kremlin veut prouver qu’il demeure capable de rivaliser avec les flottes occidentales, en particulier celles des États-Unis.
Un signal fort sur les ambitions de Moscou
Peu d’informations officielles ont filtré sur les performances réelles du Khabarovsk, mais son existence suffit déjà à raviver les tensions. L’engin, pensé pour emporter des armes à charge nucléaire et doté d’une autonomie considérable, représente un atout stratégique dans les plans de modernisation militaire de Moscou.
En inaugurant ce nouveau sous-marin, la Russie envoie un signal à la fois technique et politique : elle entend maintenir sa suprématie dans les mers et réaffirmer son statut de puissance nucléaire incontournable. Pour de nombreux observateurs, cette démonstration de force traduit une montée de la compétition stratégique mondiale, où chaque avancée technologique devient un instrument d’influence et de dissuasion.




« D’après BFMTV, le Khabarovsk »
Ben dis donc, si L+N+T se source chez ces clowns de BFM, ça explique la « qualité » de l’înfo
Les torpilles Poseïdon faisant 21 mètres de long, il a bien fallu rallonger un sous-marin. Faut être logique
« T’as vu, il bouge même pas » … c’est ce que dit un mec bourré en boite de nuit qui vient emmerdaver un champion du monde de MMA
« Un signal fort sur les ambitions de Moscou »
Va falloir combien de « signaux forts » pour que vous compregniez qu’il faut arrêter d’em*** des (pseudos)ennemis plus forts que vous … bande de schnolls
« La Russie est une station service avec une économie du 1/3 monde et le PIB de l’Espagne » dixit les sous-débiles du forum