À l’issue de la rencontre tenue le jeudi 13 novembre 2025 entre les présidents de l’Union progressiste le Renouveau (UPR), du Bloc Républicain (BR) et les six démissionnaires du parti Les Démocrates, Patrick Djivo a confirmé son choix politique. L’ancien député a annoncé qu’il fallait désormais le considérer comme un acteur assumé de la mouvance présidentielle et soutien déclaré du candidat Romuald Wadagni.
Au micro de Bip Radio, Patrick Djivo a été sans détour : « Considérez que je suis avec la Mouvance. Il n’y a pas d’ambiguïté ». L’ex-cadre des Démocrates affirme envisager une adhésion prochaine à l’un des partis de la majorité. « Si demain je vous dis que je suis UPR ou bien que je suis BR, comprenez », a-t-il indiqué dans l’entretien diffusé vendredi 14 novembre.
L’ancien parlementaire explique que son rapprochement avec les partis de la majorité ne souffre d’aucune réserve : « Si le BR dit Djivo, ta compétence me plaît, je vais travailler avec eux. Si l’UPR le dit, je vais travailler ». Pour lui, cette ouverture est motivée par la reconnaissance de ses compétences et de sa place dans l’espace politique.
Patrick Djivo assure par ailleurs partager désormais le fonctionnement quotidien de ses anciens adversaires : « Je mange avec eux, je suis autour de la table, je me sers, je bois. Alors, où est le frein ? Il n’y a pas de frein. Reconnaissez que je suis en plein pour l’émergence ». Il qualifie de « normale » la réunion avec les leaders de la mouvance, évoquant une séance « conviviale » marquée par des échanges sur « la paix », « le social » et d’autres préoccupations essentielles.
L’ancien député souligne que sa démarche s’inscrit dans une volonté collective des cinq élus démissionnaires et de lui-même de contribuer à la stabilité nationale. « Nous voulons que le peuple béninois se retrouve dans la paix et que les choses aillent au mieux. Et nous sommes prêts à rester ensemble, décupler nos efforts », affirme-t-il, ajoutant que l’adhésion éventuelle à l’un des partis de la mouvance « n’est pas un handicap en soi ».
Patrick Djivo revendique également son engagement derrière le candidat de la majorité : « Je suis le supporter numéro un de Wadagni. Ça, il faut le noter ». Il appelle enfin à ne pas préjuger de la capacité du candidat à répondre aux attentes nationales : « Qu’est-ce qui dit qu’avec Wadagni, ce que nous cherchons, nous ne pourrons pas l’avoir ? ». Selon lui, la rencontre du 13 novembre a permis d’aborder ces perspectives : « On est tous consentants pour que ce que nous cherchons pour le bonheur de tous les Béninois devienne une réalité ».




Aziz, l’autre encu*leur de vaches, revient sur ses thèmes chéris.
c’est abominable!
Qu’est ce que tu as de meilleur en toi comme être humain que les autres béninois n’ont pas ?
RIEN! Absolument RIEN!
Tu es une sous*mer de, égarée dans une vie que tu as du mal à gérer.
Tu es aussi cin*glé que Joe la Fian*te.
Continue d’encu ler tes va ches pour te donner du plaisir.
Et surtout continue de pleurer ici sur ta petite vie de mer*deux.
Tu ne nous surprends plus.
@Verge m o l l e, dépressif
»je prendrai un du côté de ma mère au Togo »
vas y trouduc! qu’est ce que tu attends ?
Même ton suicide tu l’as raté après avoir tout raté dans ta misérable vie.
Tu es une épave.
Ce Djijo après avoir connu la faim pendant 10 ans a retourné sa veste .
Un opportuniste né à qui on prête une fortune en CFA Tchrous !!!
Il déclare être le supporter numéro 1 de Wadagni sans une pensée pour Reckya Madougou qui souffre le martyr.
Méfiez-vous des Beninois ; ce ne sont pas des gens fréquentables ni dans la vie au quotidien ni en politique.
Je brûlerai le passeport de ce pays. Çà ne me sert à rien. Si passeport Africain je souhaite à nouveau ; je prendrai un du côté de ma mère au Togo.
Je ne me reconnais plus dans cette entité. Dada Behanzin a effectivement jeté un mauvais sort sur ce pays raison pour laquelle nous sommes des haineux et méchants.
Ce type n’a pas d’humanité.
Chacun paiera un jour sa dot . Paroles d’un enfant du couvent.
Cherchez l’erreur
Vas au bout de ta pensée
Les sudis tes d une manière générale..et les F ö ns en particulier..sont des ma udits
Il n a rien en eux..de positif..
C est une punit ion..qu on nous met.ensemble avec eux.. dans un même pays
La survie de cette entité.. appelée..Bénin..se pose
Moi..je veux qu’on se sépare des sudi stes..
Je vais lancer..ce débat
Les Saka lafia..Abt..gbada..gbian..et tous les tra ites.. peuvent prendre..la nationalité..du sud..on s en fou
Atabor.. doit voir le jour
Il y a en chaque sud iste..ce g êne maléf ique de la tra hison..en eux
Ils sont pas parfois cons cients..je l avoue..mais c’est plus fort qu eux…
Ils sont pas séri eux..dign es de confia nce..ils n ont jamais hon te..sans dign ité..
La cohabitation..ouemenou..aizo..Adja..fon..sera difficile.. puisque chacun se croit.. plus malins que l autre..
A l instant..t…je vois mal..des abomeens..se faire commander..par un Adja..
Je partage ta réflexion puisque ces gens-là disent que si un Adja devient Roi ; qui labourera la terre .
Selon eux un Adja n’est pas digne de la conduite d’une cité.
Sa place est au champ.
Wadagni sera juste une marionnette de Talon pendant les 14 prochaines années.
Talon ne lâchera rien au risque de se retrouver sans un kobo et en errance de capitale occidentale en capitale Asiatique pour fuir la justice de son pays.
Ça arrivera un jour .
Dieu est au contrôle.