Donald Trump, devenu à nouveau président des États-Unis, a laissé échapper un mot qui semble vouloir marquer une nouvelle ambition : selon une conversation informelle avec sa petite-fille Kai Trump, « Maintenant, le rêve est de devenir un grand président » rapportait ndtv.com Cet aveu ouvre un débat : que signifie cette aspiration ? Et comment s’inscrit-elle dans son rapport au pouvoir exécutif qu’il exerce depuis janvier 2025 ?
Depuis janvier 2025, le magnat de l’immobilier redevenu Président des Etats-Unis pour la deuxième fois conduit son agenda à la Maison-Blanche avec des décisions exécutives rapides et répétées. Plusieurs analyses journalistiques documentent cette dynamique et soulignent un exercice du pouvoir centré sur l’autorité de l’exécutif.
Une ambition renouvelée
Au cours d’une partie de golf filmée dans le cadre d’une série de sa petite-fille, Donald Trump a expliqué qu’atteindre la présidence constituait « un rêve », mais que désormais l’objectif était d’être « un grand président ». Cette formule révèle un déplacement : plus de l’exercice même du mandat que de son accomplissement, vers une dimension symbolique de « grandeur », dans laquelle le chef de l’exécutif entend laisser une empreinte.
Cet échange privé, rendu public par Kai Trump, permet de saisir un moment où la posture politique se mêle à l’image personnelle et médiatique : l’homme d’État partage un instant de complicité familiale et en profite pour décliner sa vision. Le passage de « devenir président » à « être un grand président » suggère qu’il entend marquer la fonction, pas seulement l’occuper.
Une ambition exprimée comme un objectif d’histoire
Au-delà de la fonction qu’il incarne aujourd’hui, Donald Trump vise à être reconnu pour l’impact laissé sur la présidence. Selon la presse internationale, la Maison-Blanche s’emploie depuis son retour au pouvoir à consolider le rôle présidentiel, notamment vis-à-vis du système judiciaire, des médias et de certaines institutions universitaires. Cette orientation traduit une volonté d’instaurer une vision centralisée et offensive du pouvoir politique.
Tensions institutionnelles et scène politique agitée
En septembre 2025, l’assassinat de l’influenceur ultraconservateur Charlie Kirk avait créé un choc dans une partie de la société américaine. La presse a relevé que, dans la période qui a suivi, le discours présidentiel a davantage mis en avant une séparation entre « nous » et « eux ». Par ailleurs, un tribunal fédéral a rappelé à l’administration, au printemps 2025, l’obligation de respecter certaines décisions judiciaires, soulignant des tensions entre branches du pouvoir.



« Maintenant, le rêve est de devenir un grand président »
Ben va falloir changer de méthodes, mon petit Donnie, pasqu’à par Micron, aucun président n’est plus ridicule que toi !