La perspective d’une rencontre directe entre le président américain Donald Trump et Volodymyr Zelensky vient de connaître un coup d’arrêt. Les déclarations récentes de Trump ont surpris les responsables ukrainiens et bouleversé les attentes d’Andreï Iermak, chef de cabinet de Zelensky, qui espérait avancer rapidement vers un dialogue direct. Selon New York Post, Trump ne souhaite rencontrer Zelensky qu’une fois qu’un accord de règlement du conflit avec la Russie serait finalisé ou sur le point d’être approuvé.
Trump privilégie les négociations indirectes avec Moscou
Dans cette stratégie, le président américain a mandaté Steve Witkoff, son envoyé spécial, pour dialoguer avec Vladimir Poutine, tandis que le secrétaire à l’Armée, Daniel Driscoll, se chargerait des discussions avec les autorités ukrainiennes. Cette démarche marque un choix clair : privilégier d’abord la conclusion d’un plan de paix avant d’envisager tout tête-à-tête avec les dirigeants concernés. Pour Iermak et son équipe, cette position a constitué un véritable revers, soulignant l’écart entre les ambitions diplomatiques ukrainiennes et la prudence affichée par Washington.
Le conflit russo-ukrainien reste au cœur des tensions
L’année 2022 marque le début d’une confrontation militaire de grande ampleur entre la Russie et l’Ukraine, avec l’engagement de forces armées des deux pays sur plusieurs zones du territoire ukrainien. Les affrontements se poursuivent toujours et ont entraîné des dégâts matériels importants, des pertes humaines et des mouvements massifs de population. Plusieurs initiatives diplomatiques ont été proposées depuis le début de la guerre, mais aucune n’a permis de parvenir à un accord durable. Les positions des parties restent éloignées et chaque intervention ou signal émanant d’un acteur international peut modifier l’équilibre des discussions. C’est dans cet environnement hautement sensible que les autorités ukrainiennes examinent les récentes déclarations de Washington, car elles peuvent avoir des conséquences immédiates sur le rythme et la structure des négociations avec Moscou.




@l’atlante
« Un peu de réflexion logique. Je ne crois pas que … »
Réflexion : action de réféchir
Croire : donner une adhésion de principe
CROIRE et REFLECHIR, ces deux verbes sont antinomiques. Croire n’est pas le résultat d’une démonstration logique, c’est exactement le contraire. Le fait de croire en Dieu ne prouve pas qu’il existe. Selon le principe même de la logique.
Bref, ton commentaire est d’une rare incohérence, et je suis gentil !
C’est des marrants, les ukros, ils sabotent le plan de Trump et puis ils s’étonnent que ée POTUS ne soit pas pressé revoir leurs sales tronches de forbans.
Trump en a ras-le-bol de leur c**ies, va falloir qu’ils commencent à le comprendre
Un peu de réflexion logique. Je ne crois pas que Zelensky est un idiot comme Trump.
Vas te mettre dans les souliers de Zelensky et tu verras que tes épithètes attribués à Zelensky se fondront devant tes yeux. Trump voudrait la capitulation de l’Ukraine au profit de Poutine. Les Ukros sont mille fois intelligents que toi, et mille fois vaillants soldats que toi, et trois mille fois patriotes que toi. Tu ne pourras même pas tenir debout devant l’ennemi pour une durée de deux heures pour essuyer le feu.