Les organisations et mouvements associés à la dynamique portée par l’ancien ministre Komi Koutché se sont retrouvés ce samedi 29 novembre 2025 à Abomey-Calavi pour une séance d’information et d’échanges. Les représentants venus des douze départements ont initié cette rencontre afin d’analyser le contexte politique national et de définir les prochaines orientations du mouvement.
La séance a été ouverte par le président de la Ligue des Jeunes Bâtisseurs, qui a salué la mobilisation des participants. Moudjibou Laourou a rappelé l’ancienneté de l’engagement collectif, en évoquant un « combat politique » entamé il y a plus de vingt ans. Selon lui, la présence massive des militants traduit la solidité des liens et la confiance placée dans l’avenir de leur mouvement.
Un appel à l’unité au sein des réseaux
Dans son intervention introductive, Florence Finanfa Bonou, présidente de la Coalition des Engagées pour le Bénin, a souligné la sensibilité de la période politique actuelle. Elle a mis en avant trois principes : l’unité, la lucidité et l’espérance. « Nous ne sommes pas ici au nom d’un individu, mais au nom de réseaux de jeunes, de femmes, d’acteurs citoyens qui cheminent depuis plus de vingt ans », a-t-elle déclaré.
Elle a également annoncé l’ouverture prochaine de consultations nationales destinées à permettre aux responsables de mouvements de définir une stratégie collective face aux évolutions politiques récentes et à la non-participation de leur formation aux dernières élections. Elle a assuré que Komi Koutché s’exprimera « en temps opportun », une fois les orientations internes précisées.
Un contexte politique en mutation
Le débat a été introduit par Essegnon Edénankpo, député suppléant et coordonnateur du Groupe Vision. Il a expliqué que cette réunion répond à une demande insistante de la base militante et à la nécessité d’évaluer les transformations intervenues dans la vie politique nationale, notamment les réformes institutionnelles. Il a rappelé que l’objectif était d’informer et non d’alimenter la polémique : « Nous ne sommes pas là pour critiquer ou accuser. Nous sommes là pour comprendre le moment, respecter les règles de notre République et définir notre posture ».
Les représentants des différents réseaux ont ensuite pris la parole pour exposer leurs analyses et leurs attentes. Leurs contributions, selon les organisateurs, serviront de matière à la synthèse finale qui guidera les futures consultations nationales. Au terme des travaux, les participants ont retenu plusieurs axes : renforcer l’organisation interne, consolider le lien avec la base, concevoir une stratégie commune à l’échelle nationale et encourager un engagement citoyen tenant compte des récents changements politiques.
joeleplombier..je ne partage pas ton avis
En vérité…il suffit d une petite initiative..dans un coin.. quelconque du pays.. pour que tout s embrasse
Certes tout le monde à peur..mais le peuple attend..un signal
Seulement…il faut pas que cela soit comme au Cameroun…
Ici.. nous ne devons pas s arrêter tant que ce système ne soit pas démantelé..les acteurs..mis sous des nœuds coulants en public
Encore que pour que cette lutte soit crédible et populaire ; ce ne sera pas au nom de Komi Koutche .
Si la cour de Talon est sale , ce n’est pas à Komi Koutche et ses ouailles de le dire .
Je suis profondément désolé.
Cherchez l’erreur
Vous sortez du bois pour faire mal à qui ???
Votre creuset est-il reconnu par le ministère de l’intérieur ???
Je ne vous donne pas encore deux semaines de liberté puisque vous n’aimez pas la liberté.
Vous sortez du bois pour défendre les idées tordues d’un fugitif qui se la coule douce aux USA au moment où dans ce pays tout le monde rentre dans le rang ; est un défi insensé que vous lancez au pouvoir en place.
Vous aurez une réponse appropriée en passant par des Rodéos dans les services de tortures avant que la Criet ne scelle vos malheureux sorts pour les geôles insalubres de Missereté.
Vous allez en souffrir dans la peau et dans la chair.
Vous êtes prévenus bande d’idiots. Des crèves la faim en perdition. Pitié.
Cherchez l’erreur
Il y a tellement de souffrances dans le pays que je trouve inutile que certaines personnes prennent des initiatives de ce genre en cette période si sensible.
La majorité est silencieuse par peur de représailles.
Ce n’est donc pas le moment de mettre vos vies en danger.
La seule solution pour nos compatriotes est soit se taire ou quitter le pays.
La machine en face broiera toutes voix discordantes.
Le moment de la prise de parole viendra puisque dans ce pays il n’y a pas que des Moutons.
Quand je vois l’agitation de ces petits messieurs qui évoquent Komi ; je dis Pitié.
Père pardonne leur ; ils ne savent pas ce qu’ils font .
Cherchez l’erreur
Dire qu’il y a des réseaux au Bénin qui battent le tambour pour Komi Kountché serait à mon avis une conjuration échouée.
Incroyable!