C’est un fait extraordinaire qui s’est produit récemment dans une clinique privée de Cotonou. Il y a environ un mois et demi, qu’une femme dont la nationalité n’a pu être identifiée alla accoucher dans cette clinique. Grande était la surprise des médecins des lieux qui ont constaté dès le lendemain, sa disparition, abandonnant ainsi le nouveau né seul dans le lit d’hôpital.
Les responsables de cette clinique ont cependant choisi de prendre soin de ce bébé en attendant les enquêtes qui permettront de retrouver la maman. Une autre nourrice qui vient d’accoucher fraîchement a été alors sollicitée pour lui assurer les besoins d’allaitement. Entre-temps, ils ont aussi fait recours à la Sœur religieuse catholique Victorine Sènahoun , responsable d’une Ong qui s’occupe de ces cas d’enfants abandonnés. Elle récupéra donc l’enfant, qui tomba malade quelques jours après. Lorsqu’elle l’amena de nouveau à l’hôpital pour le faire traiter, les analyses révèleront que ce bébé est porteur du vih-Sida. « je n’ai pas pour autant baissé les bras, malgré que des bonnes volontés que j’ai sollicitées en Europe, aient renoncé à venir au secours de cet enfant après la découverte de sa séropositivité » raconte la Sœur Victorine. Pour être sûre de cette infection, elle fait recours à son propre pédiatre qui reprend les analyses, mais annoncera les mêmes résultats. Le bébé est séropositif, tranche ce dernier.
La difficulté qui se pose actuellement est que la maman demeure introuvable, et selon certaines informations, elle ne serait pas de nationalité béninoise, mais plutôt togolaise ou encore ghanéenne.
Il n’empêche que la sœur Victorine Sénahoun se dit déterminée à sauver la vie de ce bébé qu’elle a entièrement pris en charge dans les locaux de son Ong, sis au quartier Cococodji. Elle explore déjà de nouvelles voies susceptibles de l’aider à mieux s’occuper de cet enfant malade, et si possible l’épargner de ce mal. « Je me battrai pour redonner vie à ce cher petit être , car il ne mérite pas ce qui lui est arrivé » lance comme défi la Sœur Victorine qui fait appel également à toute bonne volonté qui voudrait bien l’aider à sauver cet enfant.
La difficulté qui se pose actuellement est que la maman demeure introuvable, et selon certaines informations, elle ne serait pas de nationalité béninoise, mais plutôt togolaise ou encore ghanéenne.
Il n’empêche que la sœur Victorine Sénahoun se dit déterminée à sauver la vie de ce bébé qu’elle a entièrement pris en charge dans les locaux de son Ong, sis au quartier Cococodji. Elle explore déjà de nouvelles voies susceptibles de l’aider à mieux s’occuper de cet enfant malade, et si possible l’épargner de ce mal. « Je me battrai pour redonner vie à ce cher petit être , car il ne mérite pas ce qui lui est arrivé » lance comme défi la Sœur Victorine qui fait appel également à toute bonne volonté qui voudrait bien l’aider à sauver cet enfant.
Christian Tchanou
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