Cinématographie africaine

/food/iculture.jpg » hspace= »6″ alt= » » title= » » border= »0″ style= »float: right; » />«Ecrans Noirs» s’ouvre samedi avec un concours de film
Au-delà des différentes activités dont des séries de projections cinématographiques, de séminaires et atelier de formation organisées et tenues lors des éditions dernières du festival international de cinéma dénommé « Ecrans Noirs » et qui seront rééditées cette année, une nouvelle est insérée cette foi-ci dans la programmation de la douzième édition qui aura lieu du 14 au 21 juin 2008 dans la capitale camerounaise.

Il s’agit d’une compétition ouverte à l’intention des cinéastes africains. Ces derniers mettront en compétition des films, fiction ou documentaire, exclusivement africains. Trois catégories sont prises en compte par le concours notamment le court métrage, le long métrage et le scénario. A cet effet il sera mis en place trois jurys. Le premier, celui du long métrage décernera au terme de la concurrence deux prix. Le prix de la critique africaine  « L’écran d’or » et le prix « L’écran de l’espoir » respectivement d’une valeur de deux millions (2.000.000) et un million (1.000.000) de francs Cfa. Quant au second jury il sélectionnera le meilleur film court métrage. Le réalisateur de ce film bénéficiera d’une récompense de cinq cent milles (500.000) francs Cfa. Du travail des membres du troisième jury sortira le nom des cinq meilleurs scénarii. Il est réserver pour le premier de ce groupe une somme de cinq cent milles (500.000) francs Cfa. Outre les récompenses, toutes les œuvres du concours bénéficieront d’une promotion. Il est à signaler qu’hors compétition, il est prévu une attribution d’un montant de un million (1.000.000) Fcfa. C’est le prix « Ecrans d’honneur ».
Créé en 1997, le festival international de cinéma « Ecrans Noirs » vise la promotion du cinéma africain au Cameroun et en Afrique centrale. Une semaine durant, des films africains de qualité sont projetés au public dans le souci d’amener les jeunes en particulier à s’intéresser au cinéma africain pour une culture cinématographique à la base. Ce festival est aussi une occasion de rencontre des réalisateurs, des comédiens et autres professionnels du cinéma entre eux et avec le public. Les séminaires pour les critiques de cinéma, les ateliers de formations permettent aux différents acteurs du cinéma de « s’initier ou de parfaire leurs connaissances professionnelles ».
Blaise Ahouansè

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