Promotion de la paix

/food/ipolitique.jpg » hspace= »6″ alt= » » title= » » border= »0″ style= »float: right; » />L’Iub et le Cpcm donnent l’occasion aux religions de se connaître

Dialogue interreligieux : en finir avec les formes d’exclusion. C’est le thème qui a focalisé l’attention des participants à la table ronde internationale tenue samedi dernier sur l’initiative de l’Institut universitaire du Bénin (Iub) et de ‘’Chrétiens pour changer le monde’’ (Cpcm).

Ils étaient tous présents, les différents dignitaires  des religions islamique, chrétienne, évangélique et traditionnelles aux ‘’Chants d’oiseau’’ pour manifester leur désir de se connaître mieux et d’œuvrer ensemble. Pour ce faire, ils avaient à discuter autour du thème : dialogue interreligieux : en finir avec les formes d’exclusion. Selon le directeur de l’Iub et initiateur de ladite table ronde, Albert Gandonou, c’est la méconnaissance de l’autre qui amène les dissensions, les guerres et autres troubles. Cela implique la nécessité d’aller à la découverte de la religion de l’autre. C’est donc à cet exercice que les différents dignitaires se sont adonnés au cours des travaux de la table ronde du samedi dernier. Ainsi, sous le parrainage de Soulé Badarou, conseiller technique  du Chef de l’Etat et en présence de certains chercheurs tels que le professeur Honorat Aguessy, différentes communications ont été données pour faire connaître aux participants, le Vodoun, le Judaïsme, le Catholicisme, l’Islam, le Protestantisme Méthodiste, le Christianisme Céleste. Deux autres panels ont ensuite été animés sur la religion et la renaissance africaine par le Vizir Olofindji et sur la Fédération pour la paix universelle par M. Zinsou. A la fin de ces communications, les participants  ont mené des réflexions en atelier sur le dialogue interreligieux et adopté un rapport final qui se veut le vade-mecum de leurs actions futures. Il faut également signaler qu’au cours de ces assises, les différentes séquences de travail ont été ponctué par des prières du culte vodoun, le Notre père chrétien, la ‘’Fathia’’ musulmane et pour clore les travaux, une prière œcuménique a été dite.

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Benoît Mètonou

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