Consultation régionale des commissions nationales de la région Afrique

/food/afrique.jpg » hspace= »6″ alt= » » title= » »  » />Les participants se penchent sur le projet de budget et de programme 2010-2011

Durant trois jours, les hautes personnalités et responsables à divers niveaux de l’Unesco vont se réunir à la salle de conférence de l’Hôtel Marina à Cotonou à travers les assises de la consultation régionale des commissions nationales de la région Afrique. La cérémonie de lancement des travaux s’est déroulée hier en présence de nombreuses personnalités.

C’est le ministre d’Etat Kogui N’douro représentant le chef de l’Etat qui a procédé au lancement des travaux en présence de la présidente de la Commission béninoise pour l’Unesco (Cnbu) Christine Ouinsavi, du directeur général adjoint de l’Unesco Marcio Barbosa, du président du conseil exécutif de l’Unesco Joseph Yaï  Babalola Olabiyi , des présidents des institutions de la République,des membres du gouvernement. Le ministre Ounisavi fera la genèse de l’Unesco. Selon elle, l’Unesco a reçu de la communauté internationale la mission de changer le monde et les  relations entre les peuples en créant par l’ éducation , la science et la culture , les conditions de l’avènement d’un monde de type nouveau. Pour finir, elle a souhaité que de ces assises sortent des propositions et des recommandations pertinentes qui orienteront la politique générale de l’Unesco pour le biennum 2010-2011. Pour sa part, Joseph Yaï Babalola Olabiyi dira que l’éducation est à la base du développement humain durable et constitue l’un des moyens d’atteindre les Omd. A en croire ses propos, la première tache au cours de ces assises sera d’élucider les raisons de leurs échecs et aussi quelques succès enregistrés seul moyen d’aider le conseil exécutif. Après le directeur adjoint de l’Unesco Marcio Barbosa, le ministre d’Etat Kogui N’douro exhortera les participants à faire des propositions qui permettent à l’Afrique d’avoir une position claire en vue de tirer bénéfice des programmes de l’Unesco. Selon lui,  l’Unesco doit se rendre plus proche de nos peuples et de notre importante jeunesse africaine par ses activités et projets sur le terrain. Il faut signaler que des termes pertinents seront abordés au cours de ces trois jours que dureront les assises.

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Ismail Kèko

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