Création d’une mutuelle de santé à Porto-Novo

/food/isociete.jpg » hspace= »6″ alt= » » title= » »  » />Les acteurs valident l’étude de faisabilité

Présenter les résultats de l’étude afin de recueillir les contributions et recommandations des participants pour l’amélioration du document, tel est l’objectif de la journée de validation de l’étude de faisabilité pour la création d’une mutuelle de santé à Porto-Novo, réalisée par l’Ong Action Sociale.

Les travaux se sont déroulés le jeudi dernier à la salle de conférence de la Direction départementale de la santé (Dds) Ouémé-Plateau en présence du directeur exécutif de l’Ong Eugène Aguèmon, du représentant du maire de Porto-Novo Aziz Abdou Amoussa, du représentant du préfet et celui de la Dds Ouémé-Plateau. Une trentaine de participants ont pris part à la séance de validation composés des représentants d’Ong, des mairies, des directions déconcentrées de l’Etat et des partenaires sociaux. Dans son mot de bienvenue, Aline Somakpo présidente du comité de pilotage expliquera qu’en initiant cette étude c’est pour aider les populations à améliorer leurs conditions de vie. Elle n’a pas manqué de rappeler les objectifs qui sous-tendent ce projet. Pour Eugène Aguèmon, c’est un document qui sera exploité aussi bien par l’Ong Action Sociale que par d’autres structures. Ce qui permettra aux populations d’assurer l’accès aux soins de santé. « Nous perdons entre 15 et 20 enfants par jour, mais depuis l’introduction de la prise en charge, le taux a considérablement baissé » a t-il déclaré. Après le représentant du maire qui a rassuré de l’appui de la mairie, la représentante de la Dds Ouémé-Plateau remerciera l’Ong Action Sociale pour cette initiative, ce qui va amoindrir le coût de santé des populations. Les participants suivront la présentation du document par le consultant Rachel Agoli-Agbo qui a précisé qu’au cours des recherches, au total 930 personnes ont été enquêtées dont 14 responsables d’associations, 836 chefs de ménages, 18 enfants responsables de leur propre santé, 50 usagers de formations sanitaires et 12 responsables et personnels de centres de santé.

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 Ismail Kèko

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