Le conseil communal face à son bilan
Le conseil communal de Sakété a tenu sa dernière session extraordinaire. C’était une occasion pour faire constater l’évolution des travaux engagés sur le terrain. Ainsi, cette fin de semaine, le maire de la localité, Raliou Arinloyé, a été dans les coins et recoins de son territoire. Accompagné de la quasi-totalité des conseillers communaux, il a parcouru plusieurs arrondissements de Sakété. A Aguidi, Sakété1, Sakété2, Ita-Djèbou et autres, les réalisations d’infrastructures socio-communautaires sont visibles. Des écoles, hôpitaux, hangars de marché sont construits. Il y a également les sièges d’arrondissement en construction. En plus, le conseil communal a engagé ses actions dans le développement de l’élevage. Le maire Arinloyé, a fait noter que c’est à partir de six bœufs qu’il a un nombre impressionnant de bétails dans le cadre de son projet d’élevage qui fait la fierté de tout le conseil communal de Sakété. Il n’entend pas s’arrêter en si bon chemin, car tant qu’il y reste à faire, rien n’est fait. Le développement du réseau d’adduction d’eau potable aux populations, la création des unités de production pour lutter contre le sous-emploi, la réfection des voies de communication, la mécanisation progressive de l’agriculture et autres œuvres sociales sont encore dans le programme d’activités du maire Arinloyé et de son conseil communal.
Les conseillers communaux et leur chef de file se réjouissent de l’avancée des travaux sur le terrain. Dans les arrondissements parcourus, les populations les félicitent pour tout ce qu’ils font pour elles. C’est grâce au consensus qui règne au sein de ce conseil qu’il y a ces résultats. En effet, au cours des sessions, tout se passe comme si les élus ne s’étaient pas affrontés pendant les élections. « Je suis le maire de tous les fils de Sakété. Après les élections, il faut s’entendre pour penser au développement. C’est ce que nous faisons ici à Sakété », déclare M. Arinloyé. La main dans la main, les uns et les autres entendent poursuivre l’œuvre entamée.
Jules Yaovi Maoussi
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