Le siège du cabinet Expertises Afrique à Porto-Novo a servi de cadre le jeudi dernier à une conférence de presse animée par le directeur général Georges Gnonlonfoun. L’objectif de cette conférence de presse est d’informer les hommes des médias sur l’organisation prochaine d’un colloque sous régional regroupant des participants aussi bien du Bénin que de la zone Uemoa impliqués dans le système du placement financier.
Ce colloque, à en croire Georges Gnonlonfoun, se déroulera les 25 et 26 juin prochains dans la ville capitale et regroupera d’éminentes personnalités dont les maisons d’assurance, des représentants des structures de placement financier, des experts de la Bceao, ceux de la sous région et autres. En effet, à en croire les explications du Pdg de Expertises Afrique, on observe depuis peu des soubresauts liés au secteur du placement au Bénin et aussi dans la sous région particulièrement dans l’espace Uemoa. Selon ses propos, il urge que ces difficultés soient cernées et que les problèmes enregistrés dans ce secteur soient mieux appréhendés afin que des solutions adéquates soient trouvées. Le conférencier n’a pas manqué de rappeler la mission assignée à son cabinet Expertises Afrique. Puisque ce dernier avance que son leitmotiv est la valorisation des ressources humaines et le cabinet expertises Afrique est comme un laboratoire qui anticipe sur les évènements. Pour ce faire, croit savoir le Pdg Georges Gnonlonfoun, il est impérieux que ces ressources humaines soient valorisées pour un meilleur rendement. Il ajoute qu’en dehors des activités ordinaires effectuées, Expertises Afrique a intégré dans ses activités le projet dit de placement financier.
Selon lui, aujourd’hui, il existe plusieurs structures qui font le placement financier, des Ong dont la mission est à but non lucratif mais qui s’investissent dans cette activités sans un minimum d’assurance, des structures non organisées qui enregistrent d’énormes difficultés, des structures bancaires qui éprouvent des réticences vis-à-vis des structures de placement financier. Face à tout cela, tous les acteurs qui sont concernés par la régulation du marché financier ont tous besoin de l’expertise du cabinet, de collaborer afin que des solutions idoines soient trouvées aux maux qui minent ce secteur. D’où l’organisation prochaine de ce colloque au Bénin.
Ismail Kèko
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