Govou, déboires et misères

Sidney Govou ne risque pas de perdre de sitôt sa réputation de noceur. L’attaquant français a de nouveau été pris en flagrant délit d’état d’ébriété avancé. Pour Sidney Govou, il s’agit sans doute de la goutte d’eau (façon de parler) qui va faire déborder le vase (comprendre le verre). Incorrigible fêtard, l’ancien attaquant de Lyon, passé cet été auPanathinaïkos, en pince pour les sorties arrosées. Peut-être un peu trop aux yeux de certains…

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Samedi, quelques heures à peine après le nul (1-1) concédé par son club contre Larissa, « whisky-coca » (de son surnom) a été pris en flagrant délit d’état d’ébriété avancé dans les rues d’Athènes. Un nouvel écart de conduite qui a eu le don d’énerver ses dirigeants. Govou avait en effet déjà été sanctionné par deux fois de 25 000 euros pour des faits similaires en octobre.

A l’époque, son président Nikolas Pateras l’avait mis en garde et menacé de licenciement en cas de récidive, affirme le sitesport.gr. Selon les médias grecs, le Français aurait en tout cas pris un gros savon. Son dossier aurait été transmis dans la foulée à la cellule juridique du club, en vue d’une probable résiliation de contrat (il court jusqu’en 2012). Si le joueur de 31 ans refuse un départ à l’amiable, l’affaire pourrait même être portée devant la FIFA. Un cocktail sera-t-il organisé pour l’occasion ?

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