Dans l’affaire assassinat du juge Coovi, il a fallu une volonté affichée d’un prince de voir un individu croupir en prison pour que l’information judiciaire ouverte en son temps connaisse jusqu’à ce jour l’impasse. Plus tard, c’est la commission Kpognon qui fut son extincteur dans l’affaire Cen-Sad. Dès qu’il s’est mis à leurs côtés, les spoliés n’ont alors réussi à troquer leurs sous que contre un atterrissage en douce de l’avion ICC-Services, assuré de main de maître par le super ministre de la « rupture ». Les Dangnivo auraient dû le laisser en dehors des recherches, qu’à défaut de retrouver déjà Urbain Pierre, les Béninois ne se seraient pas vus davantage floués. Il n’est qu’une qualification pour faire ce genre d’exploits …
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