Prévu pour se dérouler du 25 au 28 novembre prochains, le festival international du premier film documentaire (Bénindocs 2011) est l’œuvre de l’association Africadoc présidée par Serge Bidouzo. Au programme, projections cinématographiques, ateliers d’écriture documentaire sous la direction du réalisateur nigérien Sani Magori, master-class d’initiation à la caméra avec la française Chloë Champion, rencontres et discussion entre les jeunes et les réalisateurs.
Selon les initiateurs, l’objectif primordial est la valorisation et la promotion de «la mémoire des peuples » que le film documentaire permet de sauvegarder, de voir et de percevoir la dimension et la diversité des aires géographiques entre les peuples. Mieux, Serge Bidouzo dans son intervention souligne l’aspect de singularité du regard que portent ces films sur le monde. Par ailleurs, il faut noter que d’autres films porteront sur le même gène (Bénindocs) en évoquant les expériences sur la migration, l’amour, le chômage, l’urbanisme, les rituels, l’art, pour ne citer que ceux-là. En outre, les cinéastes à l’honneur dans l’instauration des détours, des discontinuités, des absences et des silences font découvrir et penser au-delà des images captées par les objectifs.
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