Le président de l’Université international Obiang Nguema, Valère Glèlè, l’un des initiateurs du projet dénommé Ordre des Grandes Ecoles et Universités (Orgeu), était hier sur l’émission « Ma part de vérité » de Golfe Tv, pour expliquer et partager l’étendue de son programme, dont le parrain Obiang Nguema, Président de la Guinée Equatoriale partage bien la vision.
Créé en 2009 à l’initiative du professeur Valère Glèlè, l’Ordre des Grandes Ecoles et Universités (Orgeu), par une vision particulière, veut rendre l’éducation accessible à toutes les couches défavorisées. Pour ce faire, l’Orgeu met à la disposition des étudiants africains, 100.000 bourses. Le Président de l’orgeu prévoit envoyer 200 bourses par commune et 400 bourses dans les villes à statut particulier.
En effet, les étudiants béninois, désormais avec ce programme, n‘auront juste qu’à payer les droits d’inscriptions de 50.000 F Cfa, pour faire leur diplôme universitaire de technologie (dut) et la licence professionnelle, puis 70.000 F Cfa pour le master à l’Université internationale Obiang Nguema. Par ce projet, Valère Glèlè entend participer au développement économique et social des pays africains ; étendre la formation pour tous ; créer des emplois et faire revenir la diaspora africaine. Le parrain de l’Orgeu, Obiang Nguema, décoré le 24 novembre dernier, a été choisi en fonction de son prestige, ses luttes pour le développement du continent africain et son panafricanisme.
Par ailleurs, les universités et écoles ont étés choisies partout en Afrique, notamment dans les pays membres de l’Union Africaine. Obiang Nguema, lorsqu’il portait sa toge honorifique de parrain, a félicité les innovateurs du projet de l’avoir pris comme tuteur, et par la même occasion a promis mettre tout à leur disposition, pour que l’Orgeu soit une réussite en Afrique. La majorité des intervenants ont reconnu le bien-fondé du projet et ont demandé que de telles innovations soient accompagnées, par le gouvernement et les promoteurs.
L’Orgeu a pour but de contribuer à réunir toutes les grandes écoles et universités de l’Afrique, et surtout de participer au développement économique, social et solidaire de chacune d’elles. Valère Glèlè promet de relever le défi, pour une meilleure éducation en Afrique.
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