La lutte contre le paludisme ou malaria est une priorité dans la santé en Afrique voire dans le monde. Depuis quelques années plusieurs solutions sont testées, outre les traitements qui existent déjà, des solutions ont dû voir le jour au fil des années et au fil de l’augmentation de la résistance des agents pathogènes.
C’est ainsi qu’un nouveau vaccin de lutte contre l’épidémie sera bientôt mis sur le marché, toujours pour pemettre aux populations vivant dans les zones plus à risque de lutter contre la maladie, et surtout permettre de baisser le taux de mortalité infantile. D’après les premiers tests, ce vaccin a permis de réduire de 46% le nombre de malades chez les enfants vaccinés agés de 5 à 17 mois, et de 27% chez les bébés de 6 à 12 semaines, ce qui représente un véritable progrès dans le domaine. Ce vaccin agit dans les premières heures de la reproduction du plasmodium (parasite responsable de la maladie) dans l’organisme. Toutefois, les spécialistes rappellent que le vaccin n’est efficace qu’à 50% et que sur une période de 2 ans. Pour être actif, il nécessite une réfrigération, ce qui complique l’accès du vaccin dans les zones reculées. La commercialisation devrait être effective dès 2015 après validation auprès des instances européennes de santé, et aval de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
