La cour Suprême a rendu tard dans la nuit d’hier sa décision dans les dossiers de tentative d’empoisonnement et de coup d’Etat contre le chef de l’Etat béninois dans lesquels le nom de l’homme d’affaire béninois Patrice Talon est cité
. Elle a décidé d’annuler les deux arrêts de la cour d’appel qui avait, en juillet 2013, confirmé les non-lieux prononcés par le juge d’instruction, Angelo Houssou. Cela, au motif que dans leurs décisions, les juges ont visé des articles de l’ancien code de procédure pénal, au lieu de ceux du nouveau code entré en vigueur en mai 2013. Réagissant à cette décision de la Cour Suprême qui a renvoyé le dossier devant la Cour d’appel, autrement composée, Me Séverin Maxime Quenum, membre du collège d’avocats de la défense, a expliqué la décision de Cour suprême ne remet pas en cause les non-lieux prononcés et confirmés sur le fond mais sur la forme. «C’est la forme qui a été remise en cause et non le fond», a fait remarquer Me Séverin Maxime Quenum, visiblement un peu déçu
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