Suite au scandale des prothèses PIP frelatées, l’Agence française du médicament et des produits de santé ANSM avait incité l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) à mettre en place une étude sur les prothèses mammaires et leurs probables effets indésirables sur la santé les porteuses.
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Pour ce faire, l’étude sera réalisée sur une population de 100.000 femmes portant ou ayant porté des prothèses mammaires en gel de silicone et qui ont été opérées dans le pays. L’étude va durer 10 ans et les premiers résultats devraient être disponibles dans six ans. L’enregistrement se fera en ligne à l’adresse suivante: alarecherchedelucie.fr/
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