« Trente-cinq policiers portés disparus à la suite de la dernière attaque (de Boko Haram) sont recherchés et nous espérons bien pouvoir les localiser ». C’est l’alerte lancée samedi, par le porte-parole de la police nationale nigériane, Emmanuel Ojukwu.
Les policiers sont portés disparus à la suite d’une attaque de la secte islamiste Boko Haram contre un centre d’entrainement dans le nord, sous contrôle des islamistes qui veulent y instaurer un Etat islamique.
Pour l’heure, selon Emmanuel Ojukwu, on ne saurait conclure un enlèvement de ces policiers par les combattants de Boko Haram. Leur principale cible était jusqu’ici les filles et les femmes qu’ils détiennent toujours dans des lieux secrets.
A l’appréciation du porte-parole de la police nationale nigériane certains des 35 policiers pourraient avoir été tués sans que leurs corps n’aient encore été découverts, et d’autres en cavale.
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