Alors que l’octave de la Noel est en train de s’achever, la joie du ciel va exulter sur terre, car le peuple béninois et son candidat de cœur, Sébastien Ajavon, ont rendez-vous avec l’histoire.
De Porga à Ouidah, des Béninois ont sollicité sa candidature. De Parakou à Porto-Novo, le peuple a réclamé son oui pour conduire ses destinées. De Savalou à Djakotomey, des compatriotes ont demandé qu’il soit leur porte-étendard pour la présidentielle du 28 février 2016. De Cotonou à Malanville, urbi et orbi, les couches sociales ont décidé de lui accorder leurs suffrages.
Après cet élan de passions, après cette chaine d’adoubement, après cette marque d’allégeance, Sébastien Germain Ajavon va fixer ses compatriotes. Ce sera dimanche prochain 03 janvier 2016, au stade de l’amitié ‘’Mathieu Kérékou’’ de Cotonou. Mais avant, au regard du parcours élogieux de Sébastien Germain Ajavon, on peut d’ores-et-déjà prendre le risque de dire qu’il ne s’enfermera jamais dans une politique de la tourbe, du reniement, du refus d’assumer la dernière dimension de la mission que le peuple veut lui confier.
Avant, c’est sans le consentement du peuple qu’il a impacté ce pays à travers la justice sociale. Maintenant, à l’heure où le même peuple veut se débarrasser des oripeaux et amorcer sa révolution copernicienne et l’invite à enfourcher le cheval blanc, Sébastien Germain Ajavon n’a donc pas le choix. Les rameaux sont déjà là pour l’accueillir après son oui. Le doute cornélien ne sera pas de mise.
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