Il n'y a pas qu'en occident que les fausses informations sur Facebook inquiètent les autorités. On apprenait récemment par exemple que les USA avaient décidé de lutter contre les fausses informations sur Facebook, notamment après le scandale des élections présidentielles.
En Afrique, la tendance arrive à grands pas. En témoignent les récentes déclarations des autorités camerounaises sur le sujet. C'est la ministre des télécommunications en personne qui s'y est collé. Dans une intervention télévisée, Mme Minette Libom Li Likeng l'a annoncé : une peine de prison allant jusqu'à 2 ans et une amende entre 5 et 10 millions de Fcfa.
Les camerounais sont donc avertis. Pour confirmer l'information, un sms a été envoyé à tous les citoyens pour rappeler l'importance d'éviter de partager de fausses informations.
Les autres pays africains vont-ils suivre?