Dans une interview, l’he Abdoulaye Gounou a fait savoir que la commission des lois peut se concerter dans l’immédiat pour voir quelles sont les urgences constitutionnelles
« Aucun texte en l’état actuel de notre droit positif n’interdit au gouvernement où à l’Assemblée d’introduit à nouveau et dans l’immédiat une proposition ou un autre projet d’amendement à notre constitution » assure le premier vice président de la commission des lois Abdoulaye Gounou, qui analyse qu’après ce rejet, il y aura certainement un peu de déception, et de psychose dans les cœurs.
D’où l’obligation d’observer un délai raisonnable (un an ou plus), quitte à revenir à la charge après.
Dans une interview accordée à une radio de la place, l’honorable Abdoulaye Gounou a fait savoir que la commission des lois peut se concerter dans l’immédiat pour voir quelles sont les urgences constitutionnelles qu’il y a, qu’on pourrait réviser, telles que la Cour des comptes, qui est une urgence constitutionnelle. Il estime qu’il est politiquement bon pour le Chef de l’Etat Patrice Talon de marquer une pause, qui peut aller à un an. S’il tient à son projet, il peur revenir à la charge pour voir si les députés pourraient l’accompagner dans une telle entreprise.
Par ailleurs, si le vote de ce mardi 4 avril était passé, Abdoulaye Gounou confie que le projet devrait revenir encore à la commission des lois, pour être étudié de façon approfondie, les amendements seront apportés, on aurait soustraire ce que le peuple a récriminé. Les acteurs concernés seront écoutés.
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