Ces agents martèlent que le président a certes décidé de liquider la maison, mais leur a demandé de l’accompagner parce que leurs emplois seront sauvegardés.Le liquidateur de la société nationale pour la promotion agricole (Sonapra) est sur la sellette. Son tort : vouloir opérer un licenciement collectif et abusif. Réunis en assemblée générale ce mercredi, les agents de la société ont dénoncé l’attitude du liquidateur, nommé par le Chef de l’Etat. Le liquidateur, à en croire les agents de la Sonapra a choisi délibérément de ne pas faire le vœu du président de la République, qui est d’insérer ces derniers dans les nouvelles agences de gestion de la promotion agricole.
Selon les travailleurs, il apparaît clairement que leurs emplois ne seront pas sauvegardés dans la mesure où ils auraient déjà constaté que les nouvelles structures avaient lancé un appel à candidature pour les recrutements et dans ce dossier d’appel d’offres personne n’est qualifiée à la Sonapra.
Par ailleurs, ces agents martèlent que la première autorité de l’Etat a décidé certes de liquider la maison, mais leur a demandé de l’accompagner parce que leurs emplois seront sauvegardés. Chose étonnante, le liquidateur une fois arrivé dans leur structure ne veut pas travailler avec les acteurs sociaux parce qu’il aurait un plan B, un plan qui les amène à un licenciement collectif.
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