Le dieu de Banamè et le pape Christophe XVIII sont libres de leurs mouvements et aucun mandat d’arrêt n’a été émis contre eux. C’est en tout cas ce qui ressort de la sortie médiatique faite par leur avocat conseil ce mercredi 27 septembre 2017 à Cotonou. « A l’heure actuelle, l’avocat conseil que je suis n’a pas connaissance de l’existence d’un mandat d’arrêt » a lâché d’entrée Me Orunla qui précise que celui est en circulation sur les réseaux sociaux est un faux.
L’avocat a par ailleurs affirmé que Parfaite de Banamè et le pape Christophe XVIII ne sont pas en fuite comme tente de le faire croire une certaine opinion.De l’avis de Me Orunla, user de sa liberté d’aller et de venir n’est pas synonyme de fuite.Sa cliente et son pape jouissent de leur liberté constitutionnelle a ajouté l’homme de loi.
Concernant l’affaire d’homicide involontaire qui secoue la hiérarchie de l’église de Banamè, Me Orunla pense qu’elle a été montée pour nuire à ses clients. Pour lui, le rituel que l’Eglise a demandé aux fidèles de faire a été exécuté dans toutes les paroisses de la communauté. Il s’est fait que quatre fidèles sont morts à Porto-Novo. La responsabilité de ces disparitions bien que regrettable; ne doit pas être rejetée sur la hiérarchie de l’église a tenté d’expliquer l’avocat conseil.
Il s’est dit convaincu de ce que la justice n’en arrivera pas là. Me Orunla convie alors la population à laisser la justice faire son travail bien qu’il croit que Dieu est unique et qu’il ne revient pas aux hommes de régler ses problèmes.
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