L’avènement de Patrice Talon à la magistrature suprême, a suscité espoir et attentes auprès des populations béninoises. Mais au fil du temps, la désolation et la consternation gagnent du terrain au vu de la manière dont la conduite des affaires publiques se fait.
Le cas de la lutte contre la corruption, servie à l’opinion comme devant apporter de la retenue dans la gestion des fonds publics, s’est plutôt révélée comme une arme dirigée contre ceux qui osent dénoncer les travers de la gouvernance du nouveau départ.
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