A l’infosec, le vendredi 13 avril 2018, a eu lieu la cérémonie d’ouverture des travaux de la première session ordinaire du conseil national du dialogue social (Cnds). Cette session s’offre comme l’occasion propice pour les conseillers d’apporter des solutions à la crise sociale qui secoue le Bénin depuis des mois.
« Analyse et appréciation du climat social au Bénin : rôle et responsabilités des partenaires tripartites ». C’est autour de ce thème que s’est ouverte la 1ère session ordinaire du Conseil national du dialogue social (Cnds). C’était en présence des représentants du Programme des Nations Unies pour le Développement (Pnud), et de la fondation Friedrich Ebert.
Ladite session du Cnds, qui se veut être « le catalyseur d’un meilleur fonctionnement du dialogue social au Bénin », va s’étendre jusqu’au 27 avril 2018. Guillaume Attigbé le Président du Cnds lors de son allocution, n’a pas manqué d’évoquer la crise sociale qui secoue le pays en ces moments.
« Notre pays le Bénin est confronté à des crises qui mettent à mal la cohésion sociale, la paix et la stabilité, conditions indispensables d’un développement économique harmonieux et de progrès social », a-t-il laissé entendre.
Aussi, reste t-il convaincu de ce que le pays dispose d’un arsenal juridique dont la mise en œuvre devrait permettre une meilleure gestion de ces crises sociales. Il finit en invitant les conseillers à se mettre résolument au travail, plus que par le passé. Il faut noter que pendant cette session, les conseillers auront à réexaminer le programme d’activités du Cnds et le budget y afférent, échanger sur le mode opératoire de ce cadre de dialogue social, engager des réflexions devant amener à la restructuration de l’institution, et arrêter la stratégie de vulgarisation des documents fondamentaux du Cnds, mis sous plaquettes
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