Dans un communiqué en date du 1er mai 2018, le Front pour un Sursaut Patriotique a fustigé les ¨mauvais traitements¨ subis par le député Atao et la présence des policiers au Cnhu, l’hôpital dans lequel l’élu du peuple reçoit actuellement des soins.
Pour le FSP, ces « mauvais traitements » contre un député en fonction ne s’expliquent pas. Encore moins le « harcèlement policier » dont il est victime alors qu’il a recouvré sa liberté par une Ordonnance de refus d’Arrestation délivrée par le juge des Libertés et de Détention du tribunal de Cotonou.
Les « mauvais traitements » subis par le député et la présence des policiers au Cnhu apparaissent donc comme « un déni de justice, une atteinte grave aux règles de l’Etat de droit, aux droits de l’homme, une atteinte grave et flagrante à l’intégrité et à la dignité de la personne humaine » selon la déclaration du mouvement politique. Cette dernière, indique aussi que ces faits sont des manifestations d’un pouvoir dictatorial qui bascule dans la torture.
Le Front se doit donc de protester contre ces pratiques anti-démocratiques et inhumaines du pouvoir Talon contre le député Atao Hinnouho. Il invite le peuple à se joindre à lui, pour s’opposer à ce qu’il voit comme un « retour de la torture dans notre pays ».
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