C’est un véritable coup de théâtre. Selon plusieurs médias internationaux, le Président Nkurunziza a assuré qu’il ne se présentera pas pour les prochaines présidentielles dans son pays.C’est une information qui pourrait surprendre plus d’un. Le Président burundais Pierre Nkurunziza a affirmé ce jeudi qu’il n’avait pas l’intention de se présenter à la prochaine élection présidentielle prévue pour se tenir dans deux ans et assure que la nouvelle constitution n’a pas été « taillé à sa mesure« . Seulement quelques semaines après une réforme constitutionnelle validée à travers un référendum, cette déclaration prend par surprise tout le monde. Il faut noter que cette déclaration intervient seulement quelques instants après la promulgation de la nouvelle constitution « largement soutenu » par les burundais selon les résultats du référendum.
En effet, après avoir entamé un troisième mandat controversé qui a déclenché une crise qui secoue le pays depuis plusieurs années, le pouvoir en place a organisé un référendum pour modifier la constitution du pays.Il convient de rappeler que la crise a fait des centaines de milliers de déplacés.
Réformes constitutionnelles
Cette réforme touchait entre autre, le nombre d’années du mandat présidentielle qui passe de cinq à sept ans. Beaucoup d’observateurs estimaient que ce changement ouvrait un boulevard pour l’actuel président jusqu’en 2034 à la tête de son pays. Mais celui-ci a réagi ce jeudi affirmant qu’il n’irait pas contre son serment.
Pour rappel, alors qu’il prêtait serment en 2015, Pierre Nkurunziza avait affirmé que ce serait son dernier mandat à la tête du pays.
https://www.youtube.com/watch?v=6AK18QfYi34
C’est la surprise de l’année que dis-je du siècle ! On verra bien.
Tu as tort d’accorder quelque credit aux promesses du lunatique de Bujumbura.
@Agadjavi,
Justement, je n’ai aucune confiance en lui mais il l’a dit. C’est pourquoi j’ai mis : on verra bien !
encore un autre rigolo president africain ; si on pour l’échanger avec talon , on pourra peut-être un peu rigoler malgré le » gbê-dur » qu’ils font endurer à leur peuple