Le dossier de surfacturation au ministère du cadre de vie continue de faire couler beaucoup d’encre et de salive. Au cours d’une conférence de presse l’Autorité Nationale de Lutte contre la Corruption (ANLC) est monté au créneau pour apporter des clarifications.L’ANLC a effectué une sortie médiatique pour se prononcer sur ce dossier qui fait la une des journaux ces dernières semaines. A en croire le président de l’Anlc Jean Baptiste Elias, le procureur de la République qui s’est saisi du dossier, quand les faits se sont produits, et a décidé de le classer sans suite. Il a par ailleurs fait remarquer que « le classement d’un dossier sans suite est révocable, ce qui veut dire que le procureur de la république peut à tout moment revenir sur le dossier ».
Au cours de la conférence de presse, Jean Baptiste Elias a tenu a clarifié que ce n’était pas « Les Bagnoles Motors » qui était accusé dans cette affaire. Il a dans ses explications affirmé que c’était plutôt les agents du ministère qui devait veiller à faire économie à l’Etat. En temps que commerçant, « Les Bagnoles Motors » a fait sa proposition dans le cadre d’un appel d’offres qui n’était pas restreint. A l’en croire, on ne peut donc pas avoir des griefs contre cette entreprise.
Les membres de l’ANLC ont enfin fait savoir que les personnes mis en cause dans ce dossier ont été sanctionnées.
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