• À propos
  • Contactez-nous
  • Charte du site
  • Archives
samedi, mars 6, 2021
samedi, mars 6, 2021
Connexion
Menu
La Nouvelle Tribune
Pas de résultat
Voir tous les résultats
La Nouvelle Tribune
Pas de résultat
Voir tous les résultats
La Nouvelle Tribune
Accueil Opinion

Présidentielle de 2010 en Côte d’Ivoire : Un journaliste congolais affirme savoir qui a réellement gagné

Par Sathurnin Bossa
il y a 2 ans
(Tout le monde en parle)
26 Commentaires
FacebookTwitter

A lire

Michel Gohou, Photo : DR

African Talent Awards 2020 : Michel Gohou doublement honoré

Serges Gbaguidi, photo : LNT

Bénin : « Il y a déjà plus de 200 voire 300 morts dans nos rangs… », (Sg de l’Association dialyse vie)

Voir plus d'articles

Belhar Mbuyi, un journaliste congolais, vient de publier aux éditions Jets d’Encre en France un livre sur la présidentielle ivoirienne de 2010. A travers ce livre de 388 pages intitulé «Qui a (réellement) remporté la présidentielle ivoirienne de 2010 ? Vérité des urnes et de jure», ce journaliste congolais de Kinshasa a donc l’ambition de trancher, scientifiquement, le débat sur le “vrai” vainqueur de cette élection qui avait tant passionné l’Afrique, et déchiré la Côte d’Ivoire. A ce jour, l’un des protagonistes de la crise ivoirienne est jugé à la CPI pour crimes présumés lors de la crise post-électorale, et l’autre est à la tête de la Côte d’Ivoire.

Depuis ce mélodrame, en Afrique noire, l’opinion publique semble majoritairement acquise à la cause de Laurent Gbagbo, et considère Alassane Ouattara comme un homme imposé par les puissances occidentales afin de sauvegarder leurs intérêts économiques.

Mais Belhar Mbuyi ne s’est pas laissé influencer par ce genre de considération. Il a voulu enquêter par lui-même afin de déterminer avec exactitude le vrai vainqueur selon lui. C’est cette vérité – sa vérité – qu’il entend partager avec l’Afrique et le monde avec ce livre. La Nouvelle Tribune l’a joint depuis Kinshasa où il réside pour une interview à bâtons rompus.

Pourquoi avoir écrit ce livre aujourd’hui ?

La présidentielle ivoirienne de 2010 avait, certes, divisé profondément la Côte d’Ivoire, mais elle avait passionné toute l’Afrique. A ce jour, le débat sur le vrai vainqueur de cette élection fait toujours débat. De nombreux livres ont été écrits à ce sujet, et deux nouveaux sont même sortis un mois juste après le mien. Mais j’ai l’impression que la plupart de ces auteurs étalent plutôt leurs appréhensions, voire leur penchant idéologique lorsqu’ils abordent cette question.

Personne, à ce jour, ne s’est donné la peine de produire un travail qui puisse démontrer techniquement qui a été le vrai vainqueur de la présidentielle ivoirienne de 2010. J’ai donc voulu combler cette lacune en écrivant ce livre qui a l’ambition de démontrer, sans parti-pris, pour qui le peuple ivoirien a voté dans sa majorité. En outre, l’autre importance de cette présidentielle tient du fait qu’elle constitue l’acte fondateur du pouvoir d’Alassane Ouattara, qui a abouti à la mise en place de la Troisième République avec l’adoption d’une nouvelle Constitution. Il s’agit donc de savoir si ce nouveau régime est légitime ou s’il est fondé sur une imposture électorale.

Et selon vous, qui a été le vainqueur de cette présidentielle passionnante ?

Je vous réponds tout de go : Alassane Dramane Ouattara. Contrairement aux appréhensions de nombreux Africains, le Chef de l’Etat actuel de la Côte d’Ivoire a remporté cette élection de façon claire et nette qui, dans le contexte d’un pays démocratique, ne devait souffrir d’aucune contestation. C’est ce qui ressort d’un travail d’analyse scientifique et impartiale des chiffres de cette élection. J’ai pris en compte les arguments avancés par les deux camps en présence, et j’ai fait ma propre analyse électorale de façon rigoureuse qui démontre de manière incontestable que Monsieur Ouattara avait bel et bien remporté cette élection.

Comment avez-vous procédé exactement ?

J’ai procédé par une rigoureuse analyse des chiffres, j’ai comparé scrupuleusement les deux tours du scrutin. Ensuite, j’ai passé au scanner les arguments des deux camps en présence. A titre d’exemple : dans sa plainte au Conseil constitutionnel, Laurent Gbagbo accuse son adversaire d’avoir organisé des fraudes dans 7 départements du Nord et du centre du pays (Bouaké, Korhogo, Ferkessédougou, Katiola, Boundiali, Dabakala et Séguéla). Il m’est apparu clair que M. Ouattara n’avait nul intérêt à frauder dans ces 7 départements où il avait fait son plein de voix au premier tour, et où il n’avait plus de grandes marges de progression pour le second tour.

A l’évidence, ce n’est donc pas là que se jouait le deuxième tour, ce n’est pas là que Ouattara devait remporter la présidentielle. En effet, j’ai posé l’hypothèse la plus favorable à Laurent Gbagbo, c’est-à-dire laisser à Alassane Ouattara son score du premier tour dans ces 7 départements, qui, je le rappelle, n’avait pas été contesté par personne, et reporter sur Laurent Gbagbo toutes les voix des autres candidats du premier tour, y compris toute majoration éventuelle du taux de participation (supposée frauduleuse) entre les deux tours, eh bien, Alassane Ouattara serait toujours vainqueur sur le plan national. Donc, il apparaît clair que la prise en compte de toutes les réclamations de M. Gbagbo et même au-delà n’aurait jamais inversé le résultat final. Par conséquent, Laurent Gbagbo n’avait aucune possibilité de remporter cette élection.

En réalité, cette élection s’est jouée dans le report des voix du troisième homme de cette présidentielle, Aimé Henry Konan Bédié, et dans les régions où ce dernier avait obtenu la majorité ou un score significatif. Or, toutes ces régions favorables à l’ancien président ivoirien, étaient sous contrôle de Laurent Gbagbo et de ses services de sécurité, il s’agit de : Bas-Sassandra, Lacs, N’Zi-Comoé, et Lagunes comprenant Abidjan. Dans toutes ces régions, le report des voix de Konan Bédié s’est largement fait en faveur d’Alassane Ouattara. Donc, la progression du même Ouattara dans les régions qui lui sont favorables ne peut avoir rien de suspect.

Mais, dans son livre intitulé «Côte d’Ivoire, une histoire tronquée», la journaliste française Fanny Pigeaud évoque une majoration suspecte du taux de participation qui aurait ainsi permis de tricher en faveur d’Alassane Ouattara. Qu’en dites-vous ?

Vous avez raison, et elle n’est pas la seule à évoquer cet argument. De nombreux chercheurs soutiennent que la participation aurait été majorée de 10% afin d’offrir au candidat Ouattara plus de 600.000 voix frauduleuses. La plupart se basent sur des déclarations de certains cadres de la centrale électorale ivoirienne qui, le soir de l’élection, estimaient que le taux de participation se situerait autour de 70%, pour insinuer qu’il y a eu effectivement bourrage d’urne en faveur d’Alassane Ouattara. Il s’agit d’une estimation qui ne peut être confirmé qu’à la fin du dépouillement total de tous les bulletins de vote.

Dans tous les cas, cet argument ne résiste pas à une analyse sérieuse. Selon les défenseurs de cet argument, cette majoration du taux de participation aurait concerné les régions du Nord, qui avaient été sous contrôle des rebelles des Forces nouvelles, c’est-à-dire Denguélé, Savanes, Vallée du Bandama et Worodougou, dans lesquelles Alassane Ouattara est majoritaire. Leur logique tient au fait que, selon eux, Laurent Gbagbo n’avaient pas de témoins dans les bureaux de vote, et donc pas de procès verbaux.

Mais une manipulation des chiffres d’une telle ampleur était-elle vraiment possible, et M. Gbagbo pouvait-il manquer de témoins à cette échelle ? Ce n’est pas évident. Il n’empêche, l’ensemble de ces régions totalisait à l’époque 945.026 électeurs, et 785.754 suffrages exprimés, soit un taux de participation de 83,15%. Je trouve ce taux de participation parfaitement normal, car à titre d’exemple, dans la région de l’Agnéby qui vote Laurent Gbagbo à plus de 84%, le taux de participation est de 88,94%. Alors, prétendre qu’il y a eu majoration de 600.000 voix dans le Nord reviendrait à soustraire ce chiffre des suffrages exprimés qui sont de 945.026, ce qui aurait comme conséquence le fait que les quatre régions du Nord n’auraient eu que 345.026 votants, soit un taux de participation de seulement 36,51% !

Même si on ajoute au moins la moitié des régions de Zanzan (nord-Est) et de Dix-huit Montagnes, le taux de participation pour l’ensemble de ce bloc centre-nord n’excéderait pas 45%. Qui peut sérieusement imaginer que, au moment où, dans le département d’origine de Laurent Gbagbo, à Gagnoa, la population se mobilise avec un taux de participation de 87,36%, les gens du Nord eux, sèchent à ce point les urnes au moment où leur champion, Alassane Ouattara est enfin candidat pour la première fois ? Cet argument n’est pas du tout sérieux.

Est-il possible d’envisager que cette majoration du taux de participation avait concerné les régions du Sud ?

Impossible, sur le plan de la logique. Dans le Sud, Laurent Gbagbo avait des témoins dans chaque bureau de vote et il aurait pu contester une telle majoration avec des milliers de PV en guise de preuve. Or, il n’a brandi qu’un seul PV, celui de Bouaké, sujet à caution, sur lequel je me prononce dans le livre.

Quelle est l’originalité de votre livre par rapport aux autres ?

L’originalité de mon livre tient à deux faits. Premièrement, je replace la crise ivoirienne dans son contexte historique, ce qui a l’avantage de permettre au lecteur de s’immerger dans l’histoire récente de la Côte d’Ivoire. Il comprend comment un pays tranquille a évolué depuis la colonisation jusqu’à l’indépendance, comment il a construit sa prospérité grâce à un homme de vision qu’était le président Houphouët-Boigny, et comment il est descendu aux enfers suite à la néfaste politique de l’ivoirité qui a engendré la discrimination, l’exclusion, la persécution ethnique et religieuse, la haine etc.

Le lecteur réalise alors que la guerre qu’a connue la Côte d’Ivoire est la conséquence des actions menées par les Ivoiriens eux-mêmes. Il faut donc chercher les causes de nos malheurs en nous-mêmes, au lieu d’accuser toujours les autres. Deuxièmement, j’ai réalisé un intéressant travail de mathématique électorale qui permet de trancher de façon incontestable sur le vainqueur de l’élection de façon parfaitement cohérente et simple qui permet au lecteur de comprendre. Troisièmement, ce livre contient une analyse particulièrement intéressante sur le volet juridique qui analyse le rapport entre le Droit interne ivoirien et le droit international, la question de la certification des élections par l’ONU ainsi que la jurisprudence onusienne en cette matière.

Comment peut-on se procurer votre livre en Europe et en Afrique ?

En France, il peut être commandé sur le site des éditions Jets d’Encre, chez Fnac et se trouve dans de nombreuses librairies. Ailleurs en Europe, il est disponible chez amazon France, Belgique, Grande Bretagne, Pays Bas, Allemagne etc. Tout le monde, en Afrique ou ailleurs, peut passer sa commande, directement chez l’éditeur ou sur Amazon. En Côte d’ivoire, tous ceux qui sont intéressés doivent contacter la Librairie de France.

Commentaires 26

  1. Steve dit :
    2 décembre 2018 à 08:10

    Il me semble sérieux ce journaliste, j’espère que c’est pas copier coller !

    Répondre
  2. Le sage dit :
    1 décembre 2018 à 15:37

    Analyser un fait à des kilomètres sans être présent me semble ne pas reflété la vérité.
    Je vis en Côte d’Ivoire, suis Ivoirien, j’étais présent pendant les élections Présidentielle.
    Croiyez vous le Président Gbagbo n’avait pas de représentant dans les bureaux de vote au nord?
    Si vous avez bien regarder les procès verbaux, dans les régions du nord et précisément à Bouaké, dans ma propre région, il y’au eu plus de votant que d’inscrire sur la liste électorale.
    Le report de voie n’as pas fonctionné dans sa globalité.
    Car certains barons du PDCI, et les Baoulé en majorité n’ont pas suivit le mot d’ordre de Bédié.
    La plupart ont refuser d’aller voter.
    Seul les vrais militants RDR était mobiliser pour Ado.
    Vous aurez du vous approché de ceux qui avait vécu la crise pour comprendre le contexte dans lequel se trouvait la Côte d’Ivoire à cette époque.
    Vous livre est diffusé, mais il ne reflète pas la réalité de la Présidentielle de 2010 en Côte d’Ivoire, hélas.
    Ceux qui veulent relaté l’histoire de la Côte d’Ivoire ne la connaissent pas, vraiment dommage…

    Répondre
    • Homo Africanus dit :
      4 décembre 2018 à 18:27

      Donc, voilà : tu es ivoirien et tu n’as rien compris. Le journaliste n’a pas affirmé que Gbagbo manquait de témoins au nord, mais il a repris l’argument des pro gbagbo qui affirmaient qu’on avait chassé leurs témoins pour frauder. Expliquez nous comment le report des voix s’est fait en faveur de gbagbo ? Les régions pro Bédié étaient sous contrôle de gbagbo. Où sont les PV preuves de ces fraudes? Pas besoin d’être en cote d’Ivoire pour comprendre que vous couler nous rouler

      Répondre
  3. Mèwi dit :
    29 novembre 2018 à 15:48

    Excellente démonstration. J’ai adoré ! Ca m’a donné envie d’acheter ce livre et de le croquer. Gbagbo n’avait qu’à faire comme au Kenya s’il n’était pas satisfait : on annule tout et on recommance. Annuler seulement chez l’adversaire-là, c’est boulangerie même. Awanou monsieur le journaliste (Merci bcp).

    Répondre
  4. Feel energic dit :
    28 novembre 2018 à 12:49

    Impeccable analyse. J ai tjrs dit que Ado a gagne ces élections. Les résultats du premier tour n ont fait l objet d aucun doute et d aucune contestation. Et la ou les partisans de gbagbo auraient été pris au sérieux dans leur dénonciation, c était de démontrer que le report des voix de Bédié a Ouatara n a pas été effectif. Ils ne l ont jamais fait et leur manoeuvres malsaines et les dilatoires auxquels ils se sont tout le temps livres n ont rien changé bravo au journaliste j avais fait les mêmes démonstrations a un groupe d amis

    Répondre
  5. Jojolabanane dit :
    28 novembre 2018 à 06:16

    Ce congolais ne dit rien d’extraordinairement vrai.  C’est un trou du c.ul  payé par le Burkinabé Ouattara pour raconter des sottises. Gbagbo est vainqueur de cette élection point….

    Répondre
    • Homo Africanus dit :
      28 novembre 2018 à 10:10

      Tes injures montrent l’éducation que tu as reçu de tes parents, surtout quand tu manques d’arguments. Heureusement, c’est pas toi là qui décide de faire de Gbagbo président. L’argumentaire de ce journaliste congolais est solide et mérite notre respect. Contredisent le

      Répondre
  6. Enawanion dit :
    27 novembre 2018 à 16:11

    J’ai déjà lu ce livre, il est superbe, très fort dans l’argumentation. J’aimerais lire une thèse contraire pour comparer.

    Répondre
  7. Homo Africanus dit :
    27 novembre 2018 à 09:04

    Ce dossier la il causé bcp de passions. D’un côté, les gens de Gbagbo Laurent, ils accusent France et ONU de coup d’État, mais ne démontrent pas comment il a gagné. De l’autre, ce journaliste du Congo qui explique techniquement la question. Mais certains africains la n’aiment pas démonstration technique deh! Alors, en attendant que quelqu’un lui contredise techniquement, moi je crois ce qu’il dit.

    Répondre
  8. Sally dit :
    27 novembre 2018 à 08:54

    Arguments solides, démonstration impeccable. Bravo monsieur Mbuyi

    Répondre
  9. The Atlantean dit :
    26 novembre 2018 à 04:57

    Personne n’a besoin d’être Ivoirien avant de comprendre les hauts et les bas coups joués par la France et le Sécrétaire Général de L’ONU Ban-Ki-Moon, l’Ambassadeur de France en Côte d’Ivoire et notre fameux Bakayoko. Si notre Monsieur le journaliste voudrait vendre son livre au public ignorant, c’est bien son droit, mais le public avisé connait là où il veut en venir avec son histoire. On savait très bien que Ban Ki-Moon au lieu de s’occuper des forces Onuciennes, il s’était mêlé dans dans la plolitique Ivoirienne en collaboration avec Nicolas Sarkozy et les puissances internationals. Les séquelles de cette trahison abobinable pèsent lourdement encore aujourd’hui sur la Conscience de tous les africains. Les analyses de ce Monsieur à mon avis ne puissent pas contenir une goutte d’eau, et seul le Ciel des cieux pourra nous épargner que l’Afrique ne sera plus témoin d’un drame pareil en Côte d’Ivoire. 

    Répondre
    • Tevoedjre dit :
      26 novembre 2018 à 13:25

      Tu défends quoi là même ? Gbagbo fait annuler 7 départements favorables à son adversaire pour se proclamer élu, tu trouve ça normal ? S’il avait gagné, pourquoi ce tripatouillage? Ce journaliste dit vrai, c’est tout. Et cessez de nous emmerder avec vos histoires de France et de l’ONU

      Répondre
      • verite dit :
        27 novembre 2018 à 16:22

        Ton nom est synonyme de ta reponse.

        Répondre
  10. Loborow dit :
    26 novembre 2018 à 02:36

    Ce monsieur n’a fait aucune enquête. Il peut rouler les non ivoiriens dans la farine mais nous autres qui avons vécu les faits nous savons que ce qu’il appelle enquête n’est rien d’autre que le récit de Ouattara et ses patrons français . Avant sont livre nous avons entendu exactement le même discours de leurs bouches.

    Répondre
  11. NKEN dit :
    25 novembre 2018 à 23:50

    n’importe quoi et ça se dit investigateur

    Répondre
  12. Konet Abdoul. dit :
    25 novembre 2018 à 23:32

    Travail vraiment logique,scientifique et donc facile à comprendre. Félicitations M.Belhar M’buyi!!!!

    Répondre
  13. Bony dit :
    25 novembre 2018 à 22:45

    Menteur

    Répondre
  14. Zinsou dit :
    25 novembre 2018 à 21:55

    Merci monsieur le journaliste du Congo, vos arguments et votre démonstration sont impressionnants et montrent que vs maîtrisée le dossier. Je vais acheter le livre pour juger par moi même.

    Répondre
  15. Tonagnon dit :
    25 novembre 2018 à 19:57

    Du grand n’importe quoi. Combien a-t-il pris de Ouattara pour écrire ce torchon ?

    Répondre
  16. The Atlantean dit :
    25 novembre 2018 à 17:23

    Le monde savait que Gbagbo a gagné les élections en 2010. Monsieur le journaliste que pouvez-nous dire au sujet de Bakayoko, le rôle qu’il avait joué en collaboration avec l’Ambassadeur de France en Côte d’Ivoire? Ce n’est du tout le moment de venir nous bourrer la tête avec vos conneries.

    Répondre
    • Digbeu dit :
      25 novembre 2018 à 21:24

      Mais ce journaliste donne des arguments clairs qui me semblent imbattables. Contredisez le au lieu de l’insulter. Vs montrez votre misère intellectuelle

      Répondre
  17. Delphin GOUVOEKE dit :
    25 novembre 2018 à 15:49

    Où il a eu tous ses moyens là, pour faire une telle enquête si on sait qu’en Afrique, les journalistes n’ont pas de quoi faire rouler leur “profession”.

    Répondre
  18. DESOLE dit :
    25 novembre 2018 à 15:11

    si tu cherches gombo auprès de WATTRA, c’est mort. Wari bana, petit journaleux, va chercher du côté de CHADARY

    Répondre
    • Ouegnin dit :
      26 novembre 2018 à 12:38

      Un frère d’Afrique fait recherches valable, toi tu vois gombos. Tu es fauché ou quoi? Moi je trouve son argumentation très solide.

      Répondre
      • WOGNIN dit :
        9 février 2019 à 23:33

        Ouegnin, il y a gombo chez Sassou

        Répondre
        • Talon dit :
          21 novembre 2019 à 16:50

          Tu vois, lui il est de chez Tshisekedi, pas de chez Sassou. Lol. Pour le reste, il mérite félicitations pour le sérieux de son travail.

          Répondre

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.

Dernier commentaire

  • Vince dans Affaire Reckya Madougou : les dernières accusations de Modeste Kerekou
Facebook Twitter Instagram RSS
Google News

Cliquez ici pour nous suivre sur Google News. Recevez des notifications depuis votre application de Google sur téléphone, ou des infos de dernière minute sur votre ordinateur.

A ne pas rater

Nicolas Sarkozy (© Pascal POCHARD-CASABIANCA/AFP)
A la une

Nicolas Sarkozy : « Je suis habitué à subir ce harcèlement depuis dix ans »

Liens utiles

  • À propos
  • Contactez-nous
  • Charte du site
  • Archives

© 2019 La Nouvelle Tribune

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • A la une
  • Bénin
  • Politique
    • Conseil des ministres
  • Société
    • Education
    • Culture
    • Communiqué
  • Economie
  • Les grandes Interviews
  • Santé
  • Bien-être
  • Insolite
  • Sport
  • Science & Tech
  • People
  • Opinion
  • Proverbes

© 2019 La Nouvelle Tribune