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Après son arrestation en France, Patrice-Edouard Ngaïssona bientôt remis à la CPI

Par Désiré Sossa
il y a 2 ans
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Patrice-Edouard Ngaïssona, le porte-parole de la milice « anti-balaka » va bientôt se retrouver devant la Cour Pénale Internationale. Arrêté récemment en France, il lui est reproché d’avoir commis des crimes de guerre. La Cour Pénale Internationale aura bientôt un nouveau client. Cette juridiction pénale universelle permanente chargée de juger les personnes accusées de génocide, de crime contre l’humanité, de crime d’agression et de crime de guerre accueillera dans les tous premiers jours de l’année 2019, Patrice-Edouard Ngaïssona.

A l’image de Laurent Gbagbo, de Charles Blé Goudé, il répondra des actes qu’il aurait commis en Centrafrique avec sa milice « anti-balaka » au temps fort de la crise qui a secoué ce pays. Son sort a été scellé ce lundi 31 décembre en France par la cour d’appel de Paris qui a donné son « Ok » pour le transfert de ce haut dignitaire du football africain à La Haye. Cette décision de la Justice française est intervenue après qu’il ait passé 19 jours dans la prison de Fleury-Mérogis (Essonne).

Que lui reproche-t-on ?

De grands soupçons de crimes de guerre et crimes contre l’humanité pèsent en effet sur Patrice-Edouard Ngaïssona.  Les faits qui lui sont reprochés remontent dans les années 2013 et 2014 où la crise entre les musulmans et les fidèles chrétiens catholiques sévissaient dans l’Ouest de la Centrafrique. Sa milice les « anti-balaka » avait entrepris une vaste opération de vengeance contre les musulmans. Ainsi, beaucoup de musulmans avaient été traqués dans les rues de la Centrafrique. Ce responsable du football africain qui avait même aspiré à la fonction présidentielle de son pays, n’a cependant pas accepté le titre de « Chef de guerre » qui lui a été donné. Il a également nié les faits devant la chambre de l’instruction de la cour d’appel. « J’étais un porte-parole qui a amené la paix en Centrafrique et non un chef de guerre » avait-il déclaré en martelant qu’il n’était pas présent au moment des faits.

Commentaires 2

  1. Joel dit :
    31 décembre 2018 à 21:44

    Sarko est en paix, Cameron, Tony Blair, Bush, Clinton, et tous les autres Cri-***nels et on s’acharne sur l’africain!
    Simplement inadmissible mais leur fin est proche.

    Répondre
  2. Eric Tiagbeu dit :
    31 décembre 2018 à 20:00

    Encore un noir à la cpi. Noirs réveillons nuos

    Répondre

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