Diana spencer, la troisième femme en dignité du Royaume-Uni, juste après la reine et la reine-mère, après son mariage avec le Prince Charles. Un mariage arrangé et qui fut de l’avis de la presse, un désastre princier. Une presse qui révèle aujourd’hui ses stratagèmes pour rendre la monnaie de sa pièce au prince. Au début des années 1990, les révélations concernant l’échec de la vie conjugale du couple princier sont d’abord dissimulées puis dramatisées par la presse internationale. Le prince et la princesse de Galles se confiant à la presse par le truchement de leurs amis en s’accusant l’un l’autre d’adultère. Charles renouait avec Camilla Parker Bowles, tandis que Diana, désabusée, multipliait les relations adultères.
Une ‘’Marie Antoinette’’ anglaise
Son Altesse royale la princesse de Galles et comtesse de Chester, duchesse de Cornouailles, duchesse de Rothesay, comtesse de Carrick, baronne de Renfrew, Dame des Îles, princesse d’Écosse, telle serait la titulature complète de Diana Spencer épouse de Charles de Windsor prince de Galles, héritier du Trône d’Angleterre et du Royaume Uni. Une étiquette prestigieuse qui n’a pu lui donner le mariage dont elle aurait pu rêver. Très tôt délaissée pour une courtisane, une ancienne, La princesse, selon la presse ne s’en laissait pas compter.
Lady Diana multiplierait les relations adultères, avec James Hewitt, son moniteur d’équitation, avec un des gardes du corps, avec un certain James Gilbey ou encore avec Oliver Hoare, un marchand d’art marié jusqu’à Hasnat Khan ou Dodi Al-Fayed, aux côtés de qui elle perdra la vie dans un accident.
Des relations extra-conjugales soutenues au nez et à la barbe des garants de l’étiquette royale, C’est que selon la presse people, Lady Diana savait y faire. La princesse, pour faire passer incognito ses amants, les faisait entrer dans ses quartiers enfermés dans le coffre de sa voiture imitant le stratagème amoureux d’un ancien roi du Royaume Uni, le roi Edouard VII.
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