Filles kidnappées par Boko Haram : Valérie Trierweiler indignée face à la tournure de l’affaire

Valérie Trierweiler, la journaliste et ancienne compagne de François Hollande dénonce l’oubli des 220 femmes enlevées par le groupe terroriste Boko Haram. L’ancienne compagne du président français François Hollande a relancé le débat sur la situation des filles kidnappées par le groupe terroriste Boko Haram en 2014. Par le canal de son compte Twitter, Valérie Trierweiler dénonce le traitement réservé désormais à ce dossier qui avait eu le mérite de susciter une mobilisation générale. L’ancienne rédactrice de Paris-Match martèle sur le réseau social qu’« Il y a cinq ans, la mobilisation était mondiale, aujourd’hui, l’oubli est général ». La journaliste illustre ses propos avec le lien d’un article publié sur le site de l’Agence des Nations unies pour les réfugiés qui retrace le calvaire que vit une victime de l’enlèvement des 220 femmes nigérianes par le groupe terroriste Boko Haram en 2014.

L’histoire assez émouvante racontée par cette jeune fille du nom de  Adia qui n’avait que 13 ans lorsqu’elle s’est retrouvée aux mains des djihadiste indique les traitements dégradants que lui  infligent ses bourreaux. « Enlevée par le groupe de rebelles près de la frontière entre le Nigeria et le Niger, Adia est restée prisonnière pendant cinq mois. Séparées des garçons, les filles étaient détenues dans une cour entourée d’une grande clôture surmontée de pointes, leurs moindres besoins laissés au bon vouloir de leurs ravisseurs. » peut-on lire dans l’article dont le lien a été joint au poste de Valérie Trierweiler. Toujours selon cet article, la petite avait le choix entre épouser son ravisseur ou être exécuter.

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Celle qui s’était véritablement illustrée par la campagne qui avait pour thème : « Bring back our girls » s’indigne du fait que ce dossier soit jeté aux oubliettes par les décideurs.

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