Alors que l’État islamique est sur le point de tomber, la coalition internationale s’étant battue des années durant contre le califat se prépare à l’après-guerre. Récemment, Donald Trump a d’ailleurs mis quelque peu la pression sur ses alliés, concernant un sujet relativement sensible, celui du rapatriement, ou non, des djihadistes étrangers capturés.
Selon le président américain, il devrait d’ailleurs ne même pas y avoir de débat, ces derniers doivent rentrer dans leur pays, afin d’y être jugés. La raison derrière cette déclaration est simple. Capturés par les États-Unis, ces derniers ne seront pas relâchés dans la nature au moment du départ des Américains du sol syrien.
Trump, une stratégie qui divise
Ainsi, c’est via une série de deux tweets, postés durant le weekend, que le président américain a ainsi décidé de mettre les points sur les i. Dans un premier temps, ce dernier a ainsi appelé la Grande-Bretagne, l’Allemagne et la France à rapatrier les quelques 800 islamistes radicaux capturés par l’armée américaine. Limité par le nom de caractère, le président a finalement embrayé, assurant qu’il n’y avait pas d’autres alternative possible.
Si aucun des trois pays n’a pour le moment réagi à cette série de messages, il y a fort à parier que l’idée elle, a été saisie. De son côté, le président Trump a été attaqué par de nombreux internautes, qui estiment inconsidéré le fait de menacer de relâcher des terroristes si jamais ces derniers n’étaient pas rapatrier chez eux. Une stratégie qui divise.
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