La secrétaire d’Etat à la Transition écologique Emmanuelle Wargon, fut, hier jeudi, prise en flagrant délit d’infraction d’une mesure qu’elle a elle-même encouragé et au sujet de laquelle elle se devait de veiller au grain. La secrétaire d’Etat, aurait omis de respecter une des mesures visant à juguler au mieux un nouveau pic de pollution dans Paris et environs. Une faute professionnelle grave à cause du poste qu’elle occupe.
Excès de vitesse
Emmanuelle Wargon, en tant que Chargée de la Transition écologique a en charge de veiller à un notable changement de paradigme en matière de lutte contre la pollution et ses effets pervers sur l’environnement. Cependant ce jeudi, pressée par « l’urgence de l’agenda » d’après son cabinet, Wargon est passée à une vitesse de 150 km/ heures , largement au dessus de la norme. En effet, le pic de pollution à la particule fine limitait la vitesse à 110 km/ heures .
Emmanuelle Wargon, qui à sa nomination le 16 octobre passé, publiait « je crois en cette Transition écologique et solidaire et j’y mettrai toute mon énergie » ; reconnait avoir fait une erreur ce jeudi, et promet redoubler « de vigilance pour que cela ne se reproduise plus » .
Quid des particules fines
Les particules fines selon La plateforme de l’engagement RSE(responsabilité sociétale des entreprises), sont une catégorie de particules en suspension dans l’air ambiant. Plus petites que la poussière elles s’infiltreraient plus rapidement dans l’organisme.
Elles peuvent provoquer à court ou long terme des pathologies respiratoires. Cette pollution par particules serait essentiellement du fait de l’activité humaine, industrie, agriculture intensive ou mauvaise combustion des carburants au niveau des moyens de transport.
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