Son militant décédé, Ousmane Sonko suspend la campagne et refuse la sécurité étatique

Une des victimes de l’accident survenu ce 13 février à Bignona et qui a fait 17 blessés dont 7 dans le  coma, Harouna Diédhiou a finalement rendu l’âme ce 14 février. Le Président de la République Macky Sall a même présenté ses condoléances à Ousmane Sonko à cet effet, une perte en vie humaine qui a poussé le leader du parti Pastef de suspendre sa campagne électorale et à faire que des visites de proximité dans le sud du Sénégal.

Sonko décide de se passer des forces de l’ordre

Le leader de Pastef a opposé une fin de non-recevoir à la décision des pouvoirs publics de doter les candidats d’éléments de la police ou de la gendarmerie pour assurer leur sécurité. Ousmane Sonko n’a pas donné les raisons de son refus. Pour rappel, suite aux événements meurtriers de Tambacounda, l’État a décidé d’assurer la sécurité des candidats faisant face au Président de la République Macky Sall.

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Différentes divisions de la police pour la sécurité des opposants

Les autres candidats par contre ont salué cette disposition du gouvernement. Idrissa Seck, Madické Niang et Issa Sall ont accueilli la Brigade d’Intervention de la Police (BIP) et le Groupe d’Intervention de la Gendarmerie (GIGN) à bras ouverts, tout le contraire du candidat de la coalition « Sonko Président ».

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