La guéguerre au sein du clan Hallyday se poursuit. La bataille juridique va bon train et aucunes des deux parties; la veuve d’un côté et les enfants aînés de la rock star de l’autre ; ne semblent vouloir lâcher du lest. A la mort de la star en décembre 2017, la veuve du taulier sortait de sa sacoche , un document qui faisait d’elle, seule légataire du chanteur et lançait un autre front juridique de l’autre côté de la méditerranée.
Quand la justice américaine déboute Laeticia
Ce document, selon la presse internationale, rédigé en anglais et daté du 11 juillet 2014, reconnaissait à Johnny Hallyday un statut de résident et ordonnait le transfert des l’ensemble de ses actifs du moment, et à venir tels les royalties, à une fiducie américaine crée à cet effet. Un testament qui était tout de suite contesté. Et en décembre dernier, le tribunal de grande instance de Paris ordonnait à trois maisons de disque ; Sony, Universal Music, Warner; le gel de 37,5 % des royalties de Johnny Hallyday, en attendant les conclusions de la cour le 29 mars prochain.
Cette fois, ce serait une cour californienne qui aurait également opposé une fin de non recevoir à ‘’JPS’’, la nouvelle fiducie américaine de Laetitia après que la Banque américaine ait renoncé à continuer à tenir ce rôle; à sa requête d’introduire dans le trust les actifs de Johnny sur le territoire américain.
Des actifs comprenant divers biens mobiliers et surtout des royalties issues des ventes Outre-mer. Un revers pour Laeticia et une victoire pour David et laura, qui si elle n’est pas définitive ; augurerait néanmoins de bons présages quant à l’issue des débats juridiques pour les enfants aînés. Une chose serait évidente rapporte une presse internationale, c’est que ce refus de la justice californienne pourrait remettre en question l’équité même du testament américain.
