Le rappeur Nick Cannon semble avoir toujours autant de mal à s’en remettre. En effet, celui qui a publiquement désavoué R.Kelly dans l’affaire d’agressions sexuelles est récemment revenu sur le fond des événements, dans le cadre d’un entretien accordé à Vlad TV. Un récit poignant, au cours duquel il semble être démontré que tout était préparé dans les moindres détails.
Interrogé sur la façon dont le studio du chanteur était organisé et ce que cela faisait d’être avec lui, Cannon n’a pas fait de mystère. Selon lui, le studio tout entier était optimisé dans le sens ou la personne qui s’y trouvait pouvait être amenée à se sentir en quarantaine. Toujours selon lui, il n’est possible de voir personne dans ces locaux. « Tu ne vois personne dans son studio. Si j’avais vu une petite fille, je lui aurais dit que je m’en allais ».
Nick Cannon donne quelques détails
Selon lui, plusieurs situations auraient dû lui mettre la puce à l’oreille. En effet, R.Kelly adoptait parfois une attitude discutable. Par exemple, ce dernier disparaissait de longues heures, laissant ses invités seuls, à travailler au studio, avant de revenir, sans même s’être annoncé. Malgré le fait qu’il n’ait jamais su ce que le rappeur faisait, ni même croisé la moindre femme accusant le chanteur, Nick Cannon assure que son ancien collègue se doit d’être puni.
Un documentaire qui hante toujours et encore
La diffusion du documentaire polémique « Surviving R.Kelly » semble l’en avoir définitivement convaincu. La scène qui l’a le plus choqué ? Le moment où il se trouve aux côtés d’une jeune fille de 14 ans et qu’il lui urine dessus. « En tant que papa, je ne trouve rien de drôle à voir un adulte faire ça à un enfant » insiste-t-il avant d’ajouter qu’il a été très choqué de voir de jeunes femmes comme Joycelyn Savage, Azriel Clary ou encore Gayle King tenter d’apparaître si adulte. « Elles m’ont fait penser à ces petites filles qui jouaient aux mamans ».
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