Les différents actes que posent les humains participent d’une manière ou d’une autre à leur destruction. Selon un rapport publié ce mercredi 13 mars par l’Organisation des Nations Unies sur l’environnement mondial, la pollution du cadre de vie impacte directement la santé d’un nombre non négligeable d’habitants de la planète Terre. Les travaux menés par les 250 scientifiques de 70 pays pendant six ans révèlent que la mauvaise hygiène du cadre de vie est responsable «d’environ 25% des morts et maladies mondiales».
1,4 million de décès pour manque d’eaux potables
Selon le document de l’ONU, ce nombre de décès vient du malaise qui règne dans certains secteurs. Il y a le domaine de l’eau qui est pointé du doigt. Ici, les chercheurs ont mis l’accent sur le fait que des populations d’une certaine partie du monde meurent banalement. L’estimation qui a été faite du nombre de décès enregistré fautes d’accès à l’eau potable fait état d’environ 1,4million de personnes.
L’utilisation d’eaux souillées ou contaminées entraîne au sein de ces populations, des maladies comme les diarrhées par exemple. La pollution de l’océan ne reste pas sans conséquence à en croire cette publication faite par l’ONU. L’effet sera ressenti sur plusieurs générations. 6 à 7 millions de morts prématurées sont enregistrèes chaque année à cause de la pollution de l’air.
il y a aussi la pollution de l’air dans les grandes villes : une nouvelle étude revoit le nombre de morts à la hausse : la pollution de l’air pourrait être deux fois plus meurtrière que ce que l’on pensait : une étude parue récemment la juge responsable de près de 800.000 morts par an en Europe et 8,8 millions dans le monde. Entre 40 et 80% de ces décès prématurés sont dus à des maladies cardiovasculaires, estiment les chercheurs, qui publient leurs travaux dans la revue European Heart Journal.
La pollution de l’air devrait donc être une des premières préoccupations en termes de santé publique et d’environnement :