L’Organisation de l’Union Africaine, guidée par des objectifs et les principes inscrits en son acte constitutif qui soulignent l’importance de la science, de la technologie et de l’innovation en tant qu’outils et catalyseurs de la transformation socio-économique du continent; aurait décidé en janvier, de la création d’une agence spatiale.
Quand les africains regardent ensemble vers « les étoiles »
Pour l’Union africaine, rapporte un média international, la recherche spatiale et le développement de technologies qui lui sont inhérentes, pourrait très sensiblement lui permettre de répondre aux défis communs de développement. Des défis relatifs, à la météorologie, la gestion des risques et catastrophes naturelles, des changements climatiques, les télécommunications, la gestion des conflits, etc.
Du coup, il devenait nécessaire pour les Africains d’élaborer une politique et une stratégie spatiales bien structurées, susceptibles d’orienter le continent vers la mise en œuvre d’un programme commun de niveau mondial. Mettant en commun les diverses ressources, déjà affectées par certains précurseurs, tels l’Egypte, le Rwanda, le Nigéria ou encore l’Afrique du Sud ; et de les exploiter de « manière coordonnée et systématique ».
Depuis selon la presse internationale des actions phares auraient été lancées comme la conception et bientôt l’installation en Afrique du Sud ; du « plus grand radiotélescope » jamais développé pour sonder les confins de l’espace. Des investissements enthousiaste car, selon Sékou Ouédraogo, ingénieur aéronautique, « Pour 1 euro dépensé dans le spatial, il y a 100 euros redistribués dans l’économie du pays. Le développement du continent passe par l’espace ».
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